Ala date du 23/08/2022 Description de l'entreprise Entreprise active depuis le 01/01/1966 Identifiant SIREN 662 821 008 Identifiant SIRET du siÚge 662 821 008 00080 Dénomination LA DIFFUSION MODERNE Sigle DIMO Catégorie juridique 5710 - SAS, société par actions simplifiée Activité Principale Exercée (APE) 46.49Z - Commerce de gros (commerce interentreprises)
Version en vigueur depuis le 01 octobre 2021Modifié par Ordonnance n°2021-1193 du 15 septembre 2021 - art. 8La caducité ou la résolution de l'accord amiable ne prive pas d'effets les clauses dont l'objet est d'en organiser les au I de l'article 73 de l'ordonnance n° 2021-1193 du 15 septembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er octobre 2021. Elles ne sont pas applicables aux procédures en cours au jour de l'entrée en vigueur de ladite ordonnance.
mentionnĂ©sĂ  l'article l. 823-16 du Code de commerce Remplace la norme 2-107 du rĂ©fĂ©rentiel normatif CNCC de juillet 2003. Adaptation de la norme ISA 260. HomologuĂ©e par arrĂȘtĂ© du 21 juin 2011 publiĂ© au J.O. n°0178 du 3 aoĂ»t 2011. NEP-265. Communication des faiblesses du contrĂŽle interne Adaptation de la norme ISA 265.
Dans quel dĂ©lai et dans quelles conditions un fournisseur constructeur, grossiste, concessionnaire
 peut-il effectuer un recours en garantie contre le fabricant lorsqu’il est mis en cause par l’acheteur final consommateur, maĂźtre d’ouvrage
 ? La rĂ©ponse ne va pas sans difficultĂ©s au vu des positions divergentes des Chambres de la Cour de cassation et des difficultĂ©s pratiques que cela engendre. Les enjeux sont pourtant importants et les risques bien rĂ©els. Il y a unanimitĂ© sur l’application des dispositions de l’article 1648 alinĂ©a 1er qui Ă©nonce que l’action rĂ©sultant des vices rĂ©dhibitoires doit ĂȘtre intentĂ©e par l’acquĂ©reur dans un dĂ©lai de deux ans Ă  compter de la dĂ©couverte du vice . Le dĂ©bat vient sur le cadre temporel dans lequel ce dĂ©lai est enfermĂ©. D’un cĂŽtĂ©, la 1Ăšre Chambre civile et la Chambre commerciale de la Cour de cassation considĂšre que la garantie des vices cachĂ©s doit ĂȘtre mise en Ɠuvre dans le dĂ©lai de la prescription quinquennale extinctive de droit commun, en application de l’article L. 110-4 du Code de commerce, commençant Ă  courir Ă  compter de la vente initiale Article L. 110-4, I du Code de commerce Les obligations nĂ©es Ă  l’occasion de leur commerce entre commerçants ou entre commerçants et non-commerçants se prescrivent par cinq ans si elles ne sont pas soumises Ă  des prescriptions spĂ©ciales plus courtes Ainsi, dans cette configuration, l’intermĂ©diaire doit surveiller deux dĂ©lais Le dĂ©lai de 2 annĂ©es qui court Ă  compter de la connaissance du vice, soit bien souvent le recours de son acheteur / maĂźtre d’ouvrage Le dĂ©lai de 5 annĂ©es qui court Ă  compter de la vente conclue avec son propre fournisseur / fabricant. Les deux dĂ©lais ne se superposent pas parfaitement l’intermĂ©diaire peut ĂȘtre mis en cause par son acheteur au-delĂ  du dĂ©lai de 5 ans, et se trouve alors privĂ© de tout recours contre son fournisseur. Ont ainsi statuĂ© en ce sens La 1Ăšre Chambre civile de la Cour de cassation par un arrĂȘt en date du 6 Juin 2018 Cass., Civ. 1Ăšre, 6 Juin 2018, n° 17-17438 Mais attendu que la cour d’appel a retenu, Ă  bon droit, que le point de dĂ©part du dĂ©lai de la prescription extinctive prĂ©vu Ă  l’article L. 110-4 du code de commerce, modifiĂ© par la loi n° 2008-561 du 17 juin 2008, courait Ă  compter de la vente initiale, intervenue le 18 mars 2008, de sorte que l’action fondĂ©e sur la garantie des vices cachĂ©s, engagĂ©e les 9 et 10 fĂ©vrier 2016, Ă©tait manifestement irrecevable, l’action rĂ©cursoire contre le fabricant ne pouvant offrir Ă  l’acquĂ©reur final plus de droits que ceux dĂ©tenus par le vendeur intermĂ©diaire » La Chambre commerciale de la Cour de cassation par un arrĂȘt du 16 Janvier 2019 Cass., Com., 16 Janvier 2019, n° 17-21477 Qu’en statuant ainsi, alors que l’action en garantie des vices cachĂ©s, mĂȘme si elle doit ĂȘtre exercĂ©e dans les deux ans de la dĂ©couverte du vice, est aussi enfermĂ©e dans le dĂ©lai de prescription prĂ©vu par l’article L. 110-4 du code de commerce, qui court Ă  compter de la vente initiale, ce dont il rĂ©sultait que, les plaques de couverture ayant Ă©tĂ© vendues et livrĂ©es en 2003, l’action engagĂ©e par la sociĂ©tĂ© Vallade Delage le 29 juillet 2013, Ă©tait prescrite, ce qui, peu important que la sociĂ©tĂ© Arbre construction se soit dĂ©sistĂ©e de son appel sur ce point, interdisait de dĂ©clarer recevables ses demandes en garantie dirigĂ©es contre les sociĂ©tĂ©s Bois et matĂ©riaux et Edilfibro, la cour d’appel a violĂ© les textes susvisĂ©s » D’un autre cĂŽtĂ©, la 3Ăšme Chambre civile de la Cour de cassation, par un arrĂȘt du 6 DĂ©cembre 2018 Civ. 3Ăšme, 6 DĂ©cembre 2018, n° 17-24111 certes non publiĂ©, mais intĂ©ressant car il s’agit de la Chambre concernĂ©e par le contentieux de la construction, a estimĂ©, sous le seul visa de l’article 1648 du Code civil, que en statuant ainsi, alors que le dĂ©lai dont dispose l’entrepreneur pour agir en garantie des vices cachĂ©s Ă  l’encontre du fabricant en application de l’article 1648 du code civil court Ă  compter de la date de l’assignation dĂ©livrĂ©e contre lui, le dĂ©lai dĂ©cennal de l’article L. 110-4 du code de commerce Ă©tant suspendu jusqu’à ce que sa responsabilitĂ© ait Ă©tĂ© recherchĂ©e par le maĂźtre de l’ouvrage, la cour d’appel a violĂ© le texte susvisĂ© . La solution a le mĂ©rite de la simplicitĂ© et de la sĂ©curitĂ© pour l’entrepreneur. En retour, il repousse dans le temps le moment oĂč un fournisseur sera protĂ©gĂ© de tout recours en garantie, pouvant ainsi nuire au principe de sĂ©curitĂ© juridique. Ensuite, par son arrĂȘt en date du 24 Octobre 2019 Civ. 1Ăšre, 24 Octobre 2019, n° 18-14720, la 1Ăšre Chambre civile de la Cour de cassation confirme sa position et marque sa diffĂ©rence avec la 3Ăšme Chambre civile. Si cet arrĂȘt n’est pas publiĂ©, il mĂ©rite nĂ©anmoins attention. Sur le plan factuel, il convient de retenir que le 25 avril 2014, M. L
 l’acquĂ©reur a acquis de M. V
 le vendeur, au prix de 6 600 euros, un vĂ©hicule de type Renault Espace, mis en circulation le 12 aoĂ»t 2008 et prĂ©sentant un kilomĂ©trage de 157 800 km le 6 juin 2014, en raison d’une perte de puissance du vĂ©hicule, il est apparu que la pompe haute pression de gasoil devait ĂȘtre changĂ©e en raison d’une usure prĂ©maturĂ©e aprĂšs une expertise amiable, qui a conclu Ă  l’existence d’un vice cachĂ©, imputable Ă  la fabrication du vĂ©hicule, l’acquĂ©reur a assignĂ© le vendeur en rĂ©solution de la vente pour vice cachĂ© et indemnisation V
 a sollicitĂ© la garantie de la sociĂ©tĂ© BPA la sociĂ©tĂ©, auprĂšs de laquelle il avait achetĂ© le vĂ©hicule en juillet 2011 ; que cette derniĂšre a assignĂ© en garantie la sociĂ©tĂ© Renault le constructeur, constructeur du vĂ©hicule. Au travers de son pourvoi, le constructeur a sollicitĂ© sa demande de mise hors de cause et ainsi, de ne pas ĂȘtre renvoyĂ© devant la Juridiction de renvoi. C’est l’occasion pour la Cour de cassation d’énoncer que la garantie des vices cachĂ©s doit ĂȘtre mise en Ɠuvre dans le dĂ©lai de la prescription quinquennale extinctive de droit commun la prescription quinquennale extinctive de droit commun ayant couru, en application de l’article L. 110-4 du code de commerce, Ă  compter de la vente initiale intervenue en aoĂ»t 2008, l’action fondĂ©e sur la garantie des vices cachĂ©s, engagĂ©e contre le constructeur le 13 avril 2015, est irrecevable comme tardive. En suivant le raisonnement de la Cour de cassation, le constructeur Ă©tait donc Ă  l’abri de tout recours dĂšs le 12 Juin 2013, soit mĂȘme antĂ©rieurement Ă  la vente du 25 Avril 2014, dont il Ă©tait demandĂ© la rĂ©solution. En conclusion, de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale, la jurisprudence de la 1Ăšre Chambre civile et de la Chambre commerciale de la Cour de cassation ne peut qu’interpeller et amener Ă  une rĂ©flexion approfondie sur la situation dans laquelle un intermĂ©diaire, et notamment un constructeur, se trouvera, privĂ© de recours en garantie, sans nĂ©cessairement de couverture assurantielle. Vient Ă  l’esprit l’adage Actioni non natae non praescribitur » pas de prescription de l’action avant sa naissance comment concevoir qu’une partie ne puisse assurer son recours en garantie alors qu’elle n’a pas Ă©tĂ© mise en cause Ă  titre principal ? L’article 2232 du Code civil prĂ©cise que la prescription ne court pas ou est suspendue contre celui qui est dans l’impossibilitĂ© d’agir par suite d’un empĂȘchement rĂ©sultant de la loi, de la convention ou de la force majeure . L’article 2224 du Code civil Ă©nonce quant Ă  lui que les actions personnelles ou mobiliĂšres se prescrivent par cinq ans Ă  compter du jour oĂč le titulaire d’un droit a connu ou aurait dĂ» connaĂźtre les faits lui permettant de l’exercer . Pourquoi traiter diffĂ©remment le commerçant et le non-commerçant ? L’article L. 110-4, I, du Code de commerce, est taisant sur le point de dĂ©part du dĂ©lai de prescription, au contraire de l’article 2224 du Code civil. La jurisprudence de la 3Ăšme Chambre civile de la Cour de cassation a le mĂ©rite d’assurer un recours en garantie au vendeur / constructeur, dans un dĂ©lai relativement bref, mais avec un point de dĂ©part flottant. Reste le recours au droit Ă  un procĂšs Ă©quitable, sous le visa de l’article 6 de la Convention europĂ©enne des droits de l’Homme, au sujet duquel la CEDH veille Ă  ce qu’un recours puisse demeurer effectif pour un justiciable en ce sens CEDH, 11 Mars 2014, AFFAIRE HOWALD MOOR ET AUTRES c. SUISSE, RequĂȘtes n° 52067/10 et 41072/11. Dans l’immĂ©diat, Ă  rĂ©ception, toute entreprise mise en cause sera bien avisĂ©e de vĂ©rifier au plus vite la date de la vente intervenue avec son fournisseur, pour, autant que faire se peut, suspendre le dĂ©lai de 5 ans courant contre elle. ArticleL110-1. La loi rĂ©pute actes de commerce : 1° Tout achat de biens meubles pour les revendre, soit en nature, soit aprĂšs les avoir travaillĂ©s et mis en oeuvre ; 2° Tout achat de biens immeubles aux fins de les revendre, Ă  moins que l'acquĂ©reur n'ait agi en vue d'Ă©difier un ou plusieurs bĂątiments et de les vendre en bloc ou par Aller au contenuAller au menuAller au menuAller Ă  la recherche Informations de mises Ă  jour Gestion des cookies Nous contacter Droit nationalen vigueur Constitution Constitution du 4 octobre 1958 DĂ©claration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 PrĂ©ambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Charte de l'environnement Codes Textes consolidĂ©s Jurisprudence Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative Jurisprudence judiciaire Jurisprudence financiĂšre Circulaires et instructions Accords collectifs Accords de branche et conventions collectives Accords d'entreprise Publicationsofficielles Bulletins officiels Bulletins officiels des conventions collectives Journal officiel DĂ©bats parlementaires Questions Ă©crites parlementaires Documents administratifs Autourde la loi Codification Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification Tables de concordance LĂ©gislatif et rĂ©glementaire Dossiers lĂ©gislatifs Etudes d'impact des lois Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel AutoritĂ©s indĂ©pendantes AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de lĂ©gistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union europĂ©enne Journal officiel de l'Union europĂ©enne Jurisprudence de l'Union EuropĂ©enne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales â€č Article prĂ©cĂ©dentArticle suivant â€șCode de commerceChronoLĂ©gi Article L132-4 - Code de commerce »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 21 septembre 2000Partie lĂ©gislative Articles L110-1 Ă  L960-4LIVRE Ier Du commerce en gĂ©nĂ©ral. Articles L110-1 Ă  L154-1TITRE III Des courtiers, des commissionnaires, des transporteurs, des agents commerciaux et des vendeurs Ă  domicile indĂ©pendants. Articles L131-1 Ă  L135-3Chapitre II Des commissionnaires. Articles L132-1 Ă  L132-9Section 2 Des commissionnaires pour les transports. Articles L132-3 Ă  L132-9 Article L132-3 Article L132-4 Article L132-5 Article L132-6 Article L132-7 Article L132-8 Article L132-9 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Il est garant de l'arrivĂ©e des marchandises et effets dans le dĂ©lai dĂ©terminĂ© par la lettre de voiture, hors les cas de la force majeure lĂ©galement en haut de la page×Cookies est le dĂ©pot de cookies pour accĂ©der Ă  cette fonctionnalitĂ©
Tablede concordance anciens -> nouveaux articles du code du travail. Depuis le 1er mai 2008, le nouveau code du travail est entré en vigueur. Désormais, les références et numéros d'articles du code du travail comportent 4 chiffres au lieu de 3. Cette table de concordance vous permet à partir des anciens articles du code du travail de

VĂ©rifiĂ© le 15 mai 2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministrePlan sur les indĂ©pendants nouvelles mesures concernant les EIRLDepuis le 16 fĂ©vrier 2022, il n'est plus possible de choisir le statut d'entrepreneur individuel Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e EIRL.Les EIRL existants continuent cependant d'exercer leurs activitĂ©s dans les mĂȘmes ce que prĂ©voit la loi du 14 fĂ©vrier 2022 sur les indĂ©pendants .Une entreprise doit conserver tout document Ă©mis ou reçu dans l'exercice de son activitĂ© pendant une durĂ©e minimale. Ce dĂ©lai varie selon la nature des papiers et les obligations lĂ©gales. L'entreprise peut aussi archiver les documents plus longtemps, sauf s'ils contiennent des donnĂ©es personnelles. Pendant ce dĂ©lai, l'administration peut mener des civil et commercialType de documentDurĂ©e de conservationContrat ou convention conclu dans le cadre d'une relation commerciale, correspondance commerciale5 ansGarantie pour les biens ou services fournis au consommateur2 ansContrat conclu par voie Ă©lectronique Ă  partir de 120 €10 ans Ă  partir de la livraison ou de la prestationContrat d'acquisition ou de cession de biens immobiliers et fonciers30 ansDocument bancaire talon de chĂšque, relevĂ© bancaire...5 ansDocument de transport de marchandises5 ansDĂ©claration en douane3 ansPolice d'assurance2 ans Ă  partir de la rĂ©siliation du contratDocument relatif Ă  la propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©pĂŽt de brevet, marque, dessin et modĂšle5 ans Ă  partir de la fin de la protectionDossier d'un avocat5 ans Ă  partir de la fin du mandatPiĂšce comptableType de documentDurĂ©e de conservationLivre et registre comptable livre journal, grand livre, livre d'inventaire, ans Ă  partir de la clĂŽture de l'exercicePiĂšce justificative bon de commande, de livraison ou de rĂ©ception, facture client et fournisseur, ans Ă  partir de la clĂŽture de l'exerciceLes livres, registres, documents ou piĂšces sur lesquels peuvent s'exercer les droits de communication, d'enquĂȘte et de contrĂŽle de l'administration doivent ĂȘtre conservĂ©s pendant un dĂ©lai de 6 dĂ©lai commence Ă  partir de la derniĂšre opĂ©ration mentionnĂ©e sur les livres ou registres,ou de la date Ă  laquelle les documents ou piĂšces ont Ă©tĂ© les Ă©lĂ©ments concernant les revenus de 2015, dĂ©clarĂ©s en 2016, doivent ĂȘtre conservĂ©s jusqu'Ă  fin fiscalType d'impĂŽtDurĂ©e de conservationImpĂŽt sur le revenu et sur les sociĂ©tĂ©s6 ansBĂ©nĂ©fices industriels et commerciaux BIC, bĂ©nĂ©fices non commerciaux BNC et bĂ©nĂ©fices agricoles BA en rĂ©gime rĂ©el6 ansImpĂŽts sur les sociĂ©tĂ©s pour les entreprises individuelles, les sociĂ©tĂ©s Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e exploitations agricoles, sociĂ©tĂ©s d'exercice libĂ©ral6 ansImpĂŽts directs locaux taxes fonciĂšres ...6 ansCotisation fonciĂšre des entreprises CFE titleContent et CVAE titleContent6 ansTaxes sur le chiffre d'affaires TVA titleContent et taxes assimilĂ©es, impĂŽt sur les spectacles, taxe sur les conventions d'assurance...6 ansAttention les dĂ©lais sont portĂ©s Ă  10 ans en cas d'activitĂ© occulte fraude fiscale, travail dissimulĂ©, absence de dĂ©claration, activitĂ© illicite, par exemple.Document socialType de documentDurĂ©e de conservationStatuts d'une sociĂ©tĂ©, d'un GIE titleContent ou d'une association si nĂ©cessaire, piĂšce modificative de statuts5 ans Ă  partir de la perte de personnalitĂ© morale ou radiation du RCS titleContentCompte annuel bilan, compte de rĂ©sultat, annexe...10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l'exerciceTraitĂ© de fusion et autre acte liĂ© au fonctionnement de la sociĂ©tĂ© + documents de la sociĂ©tĂ© absorbĂ©e5 ans- Registre de titres nominatifs- Registre des mouvements de titres- Ordre de mouvement- Registre des procĂšs-verbaux d'assemblĂ©es et de conseils d'administration5 ans Ă  partir de la fin de leur utilisationFeuille de prĂ©sence et pouvoirs3 derniers exercicesRapport du gĂ©rant ou du conseil d'administration3 derniers exercicesRapport des commissaires aux comptes3 derniers exercicesGestion du personnelType de documentDurĂ©e de conservationBulletin de paie double papier ou sous forme Ă©lectronique5 ansRegistre unique du personnel5 ans Ă  partir du dĂ©part du salariĂ©Document concernant les contrats de travail, salaires, primes, indemnitĂ©s, soldes de tout compte, rĂ©gimes de ansDocument relatif aux charges sociales et Ă  la taxe sur les salaires3 ansComptabilisation des jours de travail des salariĂ©s sous convention de forfait3 ansComptabilisation des horaires des salariĂ©s, des heures d'astreinte et de leur compensation1 an- Observation ou mise en demeure de l'inspection du travail- VĂ©rification et contrĂŽle du comitĂ© social et Ă©conomique - CSE ex-CHSCT5 ansDĂ©claration d'accident du travail auprĂšs de la caisse primaire d'assurance maladie5 ansCette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?

Lademande de restitution d’intĂ©rĂȘts, de frais et de commissions indĂ»ment prĂ©levĂ©s sur un compte par un Ă©tablissement bancaire, qu’elle soit prĂ©sentĂ©e par voie d’action ou de dĂ©fense au fond, est soumise Ă  la prescription Ă©dictĂ©e par 16 fĂ©vrier 2022, FS-B, n° L’action rĂ©cursoire du constructeur, fondĂ©e sur la garantie des vices cachĂ©s, doit ĂȘtre introduite dans un dĂ©lai de deux 2 ans suivant le jour...

Articlel 110-4 i du code de commerce. VENTE IMMOBILIERE - Du double dĂ©lai pour agir en garantie des vices cachĂ©s. 04 AoĂ»t 2022. Avocat. Cass.civ.3e, 16 fĂ©vrier 2022, FS-B, n° 20-19.047 L’action rĂ©cursoire du constructeur, fondĂ©e sur la garantie des vices cachĂ©s, doit ĂȘtre introduite dans un dĂ©lai de deux ans suivant le jour oĂč Lire la suite. Ă©lĂ©ment d'Ă©quipement

On dĂ©signe par le terme d’acte de commerce les faits qui relĂšvent du droit commercial. C’est-Ă -dire les faits qui ne sont pas soumis au droit civil ou au droit administratif. L’acte de commerce, dĂ©finition Les actes de commerce sont les actes qui sont soumis au droit commercial. C’est donc les lois du Code de commerce qui prĂ©valent pour les aspects juridiques de ces actes, et non le code civil ou les rĂšgles du droit administratif. Cette spĂ©cificitĂ© a donc un impact sur les juridictions qui sont amenĂ©es Ă  intervenir en cas de litige. Les actes commerciaux sont rĂ©alisĂ©s par des personnes physiques ou morale qui exercent une activitĂ© fondĂ©e sur des opĂ©rations commerciales. Ils sont catĂ©gorisĂ©s comme tels de par leurs natures, leurs formes ou selon la qualitĂ© de leurs auteurs. Il n’existe pas de dĂ©finition prĂ©cise de l’acte de commerce mais tous les actes sont Ă©numĂ©rĂ©s dans le Code du commerce. On les oppose aux actes civils. Attention, en fonction des personnes impliquĂ©es dans la signature de l’acte, il peut s’agir d’un acte de commerce pour l’une des parties alors que c’est un simple acte civil pour l’autre partie. Quelles sont les diffĂ©rentes formes d’actes de commerce ? Il existe trois formes d’actes de commerce l’acte de commerce par nature, l’acte de commerce par sa forme et l’acte de commerce par accessoire. L’acte de commerce par nature Les actes considĂ©rĂ©s comme commerciaux par nature sont Ă©noncĂ©s dans le Code de commerce. Il est possible de trouver la liste complĂšte dans les articles L 110-1 et L 110-2 du Code de commerce. Ainsi, les actes de commerce listĂ©s dans l’article L 110-1 correspondent plus Ă  des actes d’achats et de revente ou de location de biens. Voici des exemples d’actes de commerce par nature Les achats de biens meubles destinĂ©s Ă  ĂȘtre revendus, Les achats de biens immeubles destinĂ©s Ă  ĂȘtre revendus, Les locations de meubles, Les obligations entre nĂ©gociants, marchands et banquiers
 Dans l’article L 110-2 sont Ă©noncĂ©s tous les actes de commerce par nature qui relĂšvent du domaine maritime ou fluvial, comme La construction de bĂątiments destinĂ©s Ă  la navigation intĂ©rieure ou extĂ©rieure, Les expĂ©ditions maritimes, Les affrĂštements ou nolissements, Les assurances et autres contrats qui concernent le commerce de la mer
 L’acte de commerce par la forme Sont catĂ©gorisĂ©s comme tels tous les actes qui sont commerciaux par essence, sans prendre en compte la personne qui les rĂ©alise. Ainsi, c’est la forme de l’acte qui prĂ©vaut et non le statut de la personne qui le signe. La lettre de change, par exemple, est un acte de commerce par la forme. Et cela, qu’elle soit signĂ©e par un commerçant ou non. L’acte de commerce par accessoire Ces actes sont Ă©galement appelĂ©s les actes de commerce au titre de l’accessoire ». Dans ce cas, on parle des actes civils qui sont rĂ©alisĂ©s par des commerçants pour les besoins de leurs commerces. C’est le cas par exemple d’un bail locatif signĂ© pour un commerce. . 467 481 775 104 174 368 322 642

l 110 4 du code de commerce