Dessousta plaque d'alu de 0,4 à percer tu places une autre plaque d'un matériau plus tendre que ton aiguille mais pas trop mou, une autre plaque d'alu par exemple mais plus épaisse, il ne faut pas quelle bouge, un truc dans le genre 2mm d'épais par exemple. Tu mets en route ta perceuse pas trop vite de tu perces ta plaque de 0,4, l'aiguille en tournant et sous la pression que tu va
Busette de drainage à clapet - Modèle MistralEN RÉAPPROVISIONNEMENT Expédié sous 21 jours Remise sur quantitéA partir de501001000Remise5,00%10,00%30,00%Prix à l'unité Ce modèle de busette est muni d'un clapet permettant d'éviter l'entrée d'eau et de vent par les trou d'évacuation des menuiseries ALU. Pièce en plastique avec clapet pour le drainage des fenêtres pour une meilleure performance d'étanchéité. CARACTÉRISTIQUES - Pour menuiserie Aluminium - Matière plastique - Équipe d'un clapet anti-retour - Prix à l'unité et vendu par 10 DIMENSIONS - Convient pour un trou de Largeur 30 mm + ou - 1 mm et Hauteur de 5 à 7 mm. - Longueur totale de la busette 42 mm - Hauteur totale 8 mm - Entraxe des clips 24 mm - Épaisseur extérieure 4 mm - Profondeur du clippage 7 mm
Fabricationdu sténopé : • Fabriquer une boite en carton rigide constituée de deux moitiés qui coulissent l'une dans l'autre. • Découper un trou au centre de la face avant lorsque la boite est encore à plat. • Monter la boîte en collant les arêtes avec du ruban adhésif noir. • Fixer le papier calque tendu à l'avant de la partie coulissante à l'aide de deux petits
Posté 24-juin,2017 Visibilité Public Temps Restant 0 j Posté parfranckraulin Offres reçues 1 Offre Fichiers joints DescriptionAide Je cherche à étendre un trou rectangulaire dans une piece en alumiuim. Ce rectangle aux bords arrondis fait environ 3,5cm de longueur pour 1,4cm de hauteur. Il y a 5 mm d'épaisseur d'aluminium Je voudrais étendre cet espace de 2,5mm sur chaque côté, pour arriver à 1,8 - 1,9 cm de hauteur au lieu des 1,4 actuels -Ajouté le 24/06/2017 1442J'habite à Paris, je privilégierais des offres à proximité. Offre 1
Unkit de réparation à base de fibres de verre. L’autre solution pour effectuer le rebouchage d’un trou sur votre véhicule consiste à utiliser un kit de réparation en fibres de verre. L’opération est assez similaire en vous débarrassant de l’intégralité de la rouille pour pouvoir ensuite utiliser l’apprêt antirouille.
October 10 Parements en aluminium utilisé pour être à la mode il ya 25 ans, mais maintenant, le bardage en vinyle plus moderne a suivi ses traces. Ce qui précède ne résistant pas, parements en aluminium est un produit extérieur singulièrement durable, et ceux dont les maisons sont bien calé sont réticents à y renoncer. Apprendre à réparer un trou dans les parements en aluminium vous permet de garder votre extérieur en regardant une grande pour les années à venir. Instructions Comment faire pour réparer un petit trou dans Aluminium Revêtements • Nettoyez la zone autour du trou avec de l'eau savonneuse. Rincez à fond pour enlever tout savon et de débris, puis sécher la zone avec une serviette de papier absorbant. • Poncer la zone autour du trou légèrement pour augmenter l'adhérence. Eliminez la poussière de ponçage avec une serviette en papier humide. • Suivez les instructions sur le produit époxy en deux parties et mélanger soigneusement un petit lot. Comme les spécifications varient selon la marque, il est essentiel de lire la notice dans son intégralité à l'avance pour éviter les surprises et les voyages de dernière minute à la quincaillerie. • Appliquer la charge époxy en deux parties rapidement. Sauf si vous achetez le genre qui ne peut être appliquée avec un pistolet applicateur, il est préférable de mettre sur le mélange à la main avec un petit couteau à mastic. • Laissez la substance sèche pendant environ 30 minutes. Doucement poncer pour correspondre à la zone de l'aluminium entourant. • Apprêt et la peinture de la section réparée de parements en aluminium afin qu'il corresponde le reste de la voie d'évitement. Protéger la zone de l'humidité et la saleté pendant au moins 12 heures. Comment réparer un grand trou dans Aluminium Revêtements • Prenez le couteau X-acto et découper la partie du revêtement en aluminium qui contient le grand trou. Le moins vous avez à couper le mieux. • Poncer les coins de la région vous coupez et poncez légèrement une superficie d'environ 1 pouce sur les deux côtés, le haut et le bas de l'écart. • Couper une partie du matériau de revêtement intact pour correspondre à la pièce que vous venez de découper. Ajouter un pouce supplémentaire de chaque côté et à des mesures supérieure et inférieure de la pièce. • Appliquer le mastic adhésif autour de la zone de la coupe, et placez la coupe pour adapter morceau de nouveau revêtement d'aluminium par-dessus. Appuyez doucement jusqu'à ce que un peu d'excédent évince tout autour. • Laisser le mastic sécher pendant la nuit. Coupez l'excédent très soigneusement avec le couteau X-acto. Conseils et avertissements Ne pas utiliser un apprêt au latex à base d'aluminium bardage. Il va décoller peu après l'application. Articles Liés Comment réparer un trou dans un Pelican Kayak Comment réparer un trou dans un bateau en plastique Comment réparer un trou dans un manteau de laine Comment réparer les trous dans les vêtements de laine bouillie Comment réparer un trou dans un bateau en fibre de verre Comment réparer un trou dans Jeans Comment réparer un trou dans une toile pour un Pop Up Camper Comment réparer un trou dans une tente Comment réparer un trou dans Moth tricot de laine Vous pourriez aussi aimer Les meilleurs Hamburger soupe de nouilles Ce qui fait du pain rassis? Comment plier Macaroni Comment faire un gâteau Raw d'Apple Comment nettoyer barils de vin de Porto Maison Rellenos Chiles Comment faire cuire une couronne d'agneau Dalmates Island Cruises Monuments du Pérou Beachfront hôtels à Panama City Beach, FL © 2022 Contact us webmaster
Lorsquon veut agrandir un trou dans une tôle avec une perceuse, vous avez pu remarquer que, plus le foret est gros plus il . vibre et que le trou a tendance à être triangulaire. (essayez d'agrandir un trou de 8 avec un foret de 12). Pour avoir un trou parfait et lisse, placez entre le trou et le foret un morceau de tissus épais plié en quatre, le foret ne vibrera. pas et le nouveau trou
En matière de nautisme pêche les goûts et les couleurs des pêcheurs permettent un choix en matière de coques, il faut donc faire le bon lorsque l’on s’équipe. Or, ce premier choix s’avère souvent n’être qu’un coup de cœur. Il convient donc de connaître les qualités et défauts des matériaux pour faire le bon choix. Il fut un temps, pas si lointain, où les seules barques de pêche en France étaient disponibles en fibre polyester ou en bois. Mais ce temps est révolu et avec la mode de la pêche des carnassiers en bateau, vous avez à présent un choix pléthorique à votre disposition. Mais trop de choix entraîne souvent un juste questionnement, quel sera le meilleur matériau pour ma barque ? Sera-t-elle adaptée à ma façon de pêcher et aux lacs ou rivières que je fréquente ? Barque ou bateau ? Comment faire la distinction avec objectivité ? Une barque peut mesurer jusqu’à 6m, elle ne possède pas de pontage et n’est jamais motorisée avec une grosse puissance. Un petit bass boat de 4m propulsé par un 6 cv ne peut être appelé bateau, il semble que ce soit d’une part la taille et d’autre part l’équipement embarqué qui fasse d’une barque un bateau. C’est un plastique assez souple qui acquiert sa forme définitive par moulage puis thermo soudure. Le polyéthylène est la matière constituant les barques dites rotomoulées » qui équipent nombre de pêcheurs. Elles ne demandent quasiment aucun entretien et sont souvent les barques achetées par les propriétaires d’étang et laissées sur place des années durant. Les barques en polyéthylène ont beaucoup d’avantages, leur souplesse leur permet d’absorber les chocs légers sans se déformer et on peut réparer un trou ou une fissure avec un simple fer à souder et un bâton de polyéthylène de la même teinte. Quasiment toutes ces barques sont à double coques donc très sécuritaires mais leur principal avantage reste le tarif avec un prix bien en deçà des autres matières. Leur désavantage est lié au poids car c’est lourd mais aussi au fait que ces coques, à cause de leur souplesse, ne permettent pas de naviguer assez vite. Le fait qu’elles soient difficilement aménageables pèse aussi dans la balance, en effet ponter ce type de barque n’est pas si facile car la matière demande des chevilles de fixation spécifiques. Une barque polyétylène dite rotomoulée. L’aluminium Les barques en aluminium sont actuellement les préférées des pêcheurs hexagonaux. L’aluminium offre l’avantage de la légèreté, de la durabilité dans le temps et d’une excellente navigabilité. Il est la matière préférée du pêcheur bricoleur qui peut ainsi aménager sa barque à moindre coût avec les outils du quotidien. L’aluminium ne se corrode pas et peut coucher dehors sans aucun problème durant des années. Sa relative rigidité va lui permettre de pouvoir accueillir une bonne motorisation et ainsi pouvoir se déplacer rapidement sur l’eau. Malheureusement il a aussi quelques défauts à prendre en compte, le premier de ceux-ci est qu’il est le moins sécuritaire et sauf à investir dans un bateau à double coque moussée, une petite barque alu classique pourra couler si elle prend une grosse vague. Son second défaut est la fragilité au choc, outre une simple cabosse sans gravité, l’alu peut se déchirer sur un gros choc, se plier, se dessouder ou fuir au niveau d’un rivet. Souder de l’aluminium demande des compétences rares à trouver mais c’est possible en cherchant un peu, chez un carrossier par exemple. Dernier argument en faveur des défauts, son prix, l’alu coûte cher et une barque alu est longue à fabriquer et demande un outillage et un savoir faire particulier. Une barque alu. Le polyester Les barques en fibre se font rares, pourtant elles présentent bien des avantages avec en premier lieu une navigabilité hors pair qui les font glisser mieux sur l’eau que bien d’autres matières. Le polyester reste en outre très rigide, ce qui lui permet d’accueillir une bonne motorisation tout en restant assez léger. C’est une matière que l’on peut déconseiller au bricoleur car maîtriser la science de la fibre et de la résine ne s’apprend pas en une minute, c’est ainsi qu’une simple fissure pourra être recollée à la résine mais pour un trou dans la coque il faudra faire appel à un spécialiste pour un travail soigné. Le polyester présente un autre avantage, à l’image des bass boat, il peut être équipé d’origine de nombreux coffres, son plancher peut être antidérapant et il est souvent à double coque moussée d’origine ce qui est un argument sécuritaire de poids. Dernier point relatif à la navigation, la forme de la coque peut être complexe afin d’assurer stabilité et performance en navigation et en pêche. Le polyester n’a pas que des avantages tout de même, il est très lourd, peu ou pas aménageable et il est surtout cher car il demande lui aussi un savoir faire et de l’outillage particulier. Une barque Polyester. Que choisir alors ? S’il faut rester dans le point de vue d’une barque et non d’un bateau, on s’orientera vers le polyéthylène ou l’alu car très peu de barques en polyester sont réellement conçues pour la pêche. Ces dernières sont avant tout mises au point pour la navigation et n’offrent pas l’espace nécessaire et la stabilité en action de pêche qui est l’un des points fondamentaux dans notre choix. Pour les petits lacs et étangs, une simple barque rotomoulée de 3,5m suffira à vous procurer confort et plaisir sur l’eau, d’autant que de plus en plus de plan d’eaux sont interdits au moteur thermique. La longueur de 3,5m vous apportera la stabilité indispensable lorsque vous allez pêcher debout, en deçà il faudra jouer l’équilibriste et ce n’est jamais agréable. Sur les lacs de barrage ou les grandes superficies et hormis quelques très grands lacs qui demandent l’usage de bateau pour la sécurité, une barque en aluminium elle aussi de 3,5m ou plus sera le choix le plus sage. Vous pourrez la motoriser correctement de façon à minimiser vos temps de trajet sur l’eau. Une fome moins classique, un jon boat alu. Et la pêche ? Si vous êtes un adepte du farniente, de la pêche au vif au bouchon, de la tirette et des pêches ancrées, une simple barque rotomoulée suffira à votre bonheur. C’est d’ailleurs ce que l’on voyait en majorité sur l’eau il y a une dizaine d’années avant l’explosion de la pêche aux leurres. La barque polyéthylène n’est pourtant pas que la barque du pêcheur à l’ancienne, elle se montre très efficace dans les techniques de pêche comme la verticale par exemple. Au contraire, pour toutes les pêches très actives comme le leurre en power fishing, une barque aluminium pontée où on se tiendra debout la plupart du temps sera un choix plus opportun. Il s’agit aussi souvent d’un choix générationnel et les plus jeunes choisissent l’aluminium pour sa facilité de mise à l’eau partout même dans des endroits sauvages où des bras vigoureux peuvent porter la barque. La barque rotomoulée reste souvent l’apanage de la génération qui prend son temps et qui préfère le confort au sport. La barque passe partout Une barque pour tout faire sera une coque aluminium de 3,5 à 4m de long avec des francs bords permettant d’affronter les grands lacs et les fleuves. Elle aura une étrave marquée pour couper la vague mais un fond plat pour le confort. Elle sera motorisée au minimum avec un thermique et un électrique avant et bénéficiera d’une remorque de bonne qualité pour affronter la route sereinement.
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Comment optimiser le refroidissement dans une tour ? Actuellement, les tours vendues sont presque toutes équipées d'origine de ventilateurs. Mais sont-elles pour autant optimisées au niveau du refroidissement, ou alors si des modifications sont apportées, comment optimiser le flux d'air pour satisfaire à un bon échange des calories dans cet espace généralement réduit et qui peut rapidement tourner à la fournaise ? Introduction Une tour, c’est un boîtier destiné à accueillir une carte mère, une ou plusieurs cartes vidéo, une alimentation, et plusieurs autres périphériques comme des disques durs, SSD, graveurs, … Si dans le principe de base, c’est une fonction simple, dans la réalité, il n’en va rarement de même ! En effet, outre le fait de devoir caser tout ce beau monde dans le boîtier, ce dernier doit en plus assurer les fonctions de refroidissement et de silence. C’est là que le sujet devient intéressant, car avec les configurations qui évoluent très vite ces derniers temps, les calories à dissiper évoluent dans le même sens, car le matériel devient toujours plus puissant et les utilisateurs plus exigeants en termes de possibilités ! Le refroidissement devient alors à un moment donné crucial, au point qu’il peut même devenir un point à améliorer très rapidement au vu de l’escalade à la puissance ! Un peu d’histoire…Il faut revenir quelques années en arrière, disons ne serait-ce qu’environ dix, pour comprendre le problème. L’époque évoquée fait la part belle aux fameux processeurs que sont entre autres les Pentium III ou Athlon, voire ensuite les Pentium IV ou Athlon XP. Les configurations de l’époque, avec la génération des cartes graphiques, du genre GeForce 4 Ti ou Radeon 8500, consommaient assez peu au regard de nos configurations actuelles, et les alimentations usuelles tournaient alors autour des 300W de puissance restituée. Par la suite, les GeForce 5 et Radeon 9XXX sont arrivées, et il a fallu revoir tout doucement la puissance délivrée par les alimentations. Bien évidemment, avec la puissance nécessaire pour alimenter les configurations de l’époque, les composants chauffaient encore assez peu, et la dissipation des calories ne faisait pas encore appel aux systèmes de refroidissement d’aujourd’hui. Avec les années qui suivirent, les configurations sont devenues de plus en plus voraces, au point qu’actuellement tous les processeurs et cartes graphiques ont des gestions d’énergie, leur permettant ainsi de faire chuter les fréquences et les tensions d’alimentation lorsque toute la puissance n’est pas nécessaire. Mais à contrario, par exemple pour les joueurs ou les overclockers, le fonctionnement et l’utilisation du matériel n’est plus le même, et est soit poussé au maximum de ses capacités, en restant dans les limites définies par les constructeurs, soit poussé bien plus loin encore et nécessite alors la mise en place d’alimentations surdimensionnées pour alimenter l’ensemble du matériel lors des overclockings ! Il n’est donc pas rare aujourd’hui de trouver par exemple des cartes graphiques qui à elles seules sont capables de consommer bien plus en puissance que des ordinateurs entiers, même pour joueurs, d’il y a ne serait-ce que cinq ans en arrière, et encore ! Que dire alors si un retour en arrière est fait sur dix ans ! De toute évidence, et du coup, les tours achetées et conçues pour le matériel d’il y a cinq ans en arrière, ne sont plus du tout adaptées au matériel actuel, et ne peuvent plus répondre à la demande de dissipation de calories comme autrefois ! Ce qui a changé physiquement dans la conception des tours depuis dix ans Tout d’abord le boîtier en lui-même. En fait et à l’époque, il n’est pas nécessaire d’avoir un gros refroidissement. Du coup, peu de boîtiers comportent des trous dans les parois latérales, et le seul et unique ventilateur se trouve soit à l’avant, sous le lecteur de disquettes, soit à l’arrière, sous l’alimentation. Oui, sous l’alimentation, car elle était placée en haut du boîtier, et contribuait ainsi à l’aspiration de l’air un peu réchauffé, et son extraction de la tour. La circulation de l’air dans le boîtier se trouve donc réduite à un filet d’air, provenant de la partie basse à l’avant de la tour, et extrait par la partie haute à l’arrière de la tour, en passant par l’alimentation. Avec les configurations qui ont commencé à s’étoffer, certains perçages ont commencé à faire leur apparition sur le panneau latéral de la tour. Ces derniers permettaient accessoirement la mise en place d’un ventilateur de 80mm de diamètre, ce qui à l’époque permettait d’amener un peu plus d’air frais à l’intérieur de la tour ventilateur en aspiration. Pour compléter ce dernier, certains emplacements pour d’autres ventilateurs, ou tout simplement des perçages, ont permis d’améliorer aussi l’extraction de l’air chaud, venant ainsi en complément au ventilateur de l’alimentation. C’est là que certains concepteurs ont réalisé que les alimentations thermo-régulées qui avaient fait leur apparition depuis peu, commençaient à faire de plus en plus de bruit, car la chaleur dissipée dans la tour, se mêlait à l’air qui devait refroidir l’alimentation, et ce dernier étant réchauffé, obligeait cette dernière à faire tourner son ventilateur toujours plus vite pour qu’elle soit bien refroidie. Pour parer à ce problème, les emplacements pour les alimentations ont été déplacés cette fois-ci vers le bas du boîtier, et pour compenser le manque d’extraction en haut, ce sont des ventilateurs qui ont pris place. D’abord du 80mm, puis du 120mm, mais également d’autres diamètres plus ou moins normalisés, pour aboutir actuellement à des mesures comme du 140mm. Par la suite, les ventirads de processeurs sont devenus toujours plus gros et plus imposants, les systèmes de refroidissement des cartes graphiques aussi, sans compter que certaines de ces dernières ont commencé à avoir des longueurs hors normes pour la plupart des boîtiers de l’époque. Il a donc fallu adapter les boîtiers à ces nouveaux composants et dégagements de chaleur. Ainsi de nouveaux boîtiers sont apparus, plus imposants, et offrant toujours plus de systèmes de refroidissements, provoquant des flux d’air plus importants dans la tour. La vague des watercoolings est arrivée à peu près à la même époque. Alors qu’elle faisait figure de système hors normes et réservé à une élite peu de temps avant, elle est actuellement parfaitement intégrable dans une majorité des boîtiers actuels. Ainsi, il n’est plus rare aujourd’hui de trouver des modèles permettant la mise en place d’au moins un système de watercooling, avec des ouvertures permettant le passage de tuyaux vers l’extérieur. De même, le volume intérieur a été augmenté pour permettre la mise en place des tuyaux, du réservoir, de la pompe, du radiateur, … Les ventilateurs ont aussi vu leurs diamètres et emplacements évoluer, avec comme exemple des tours à l’image du HAF 932 de Cooler Master qui a fait figure de pionnier à l’époque et est encore proposé à la vente aujourd’hui, avec quelques améliorations esthétiques et fonctionnelles rajout de prises USB par exemple. Ce boîtier propose par exemple un emplacement supérieur pour le watercooling, permettant la mise en place d’un radiateur pouvant aller jusqu’à trois ventilateurs de 120mm, mais aussi la possibilité d’y mettre plus conventionnellement un ventilateur de 230mm ou un ventilateur de 230mm + un autre de 120mm ou même jusqu’à trois ventilateurs de 120mm ! Et cela ne concerne que la partie haute !!! L’arrière peut recevoir un 120 ou 140mm, l’avant reçoit un 230mm et le côté peut recevoir un 230mm ou jusqu’à quatre ventilateurs de 120mm ! Le dessous enfin, possède une grille pour faire passer l’air dans le cas où l’alimentation doit aspirer l’air frais par le bas, et un emplacement plus en avant permettant de monter un ventilateur de 120mm ! C’est sans compter le métal mesh » ou autrement dit en nid d’abeilles, permettant également à l’air de circuler librement ! Il en existe sur le devant, sur le côté, sur le dessus, à l’arrière, en dessous, et est aussi complété par des ouïes d’aération au niveau des emplacements des disques durs ! D’autres boîtiers actuels proposent des caractéristiques équivalentes, voire même des options supplémentaires comme la possibilité de monter deux systèmes de watercooling dans la partie supérieure, ou même inférieure ! Ainsi, les boîtiers actuels n’ont plus rien à voir avec les boîtiers d’il y a seulement quelques années. Mais cela suffit-il à avoir pour autant un refroidissement optimisé ? Tout dépend alors de la configuration montée à l’intérieur, du système de refroidissement choisi et des différents ventilateurs, de leurs débits et de leurs sens, à savoir s’ils doivent être montés en aspiration ou en extraction ! En fait, rien n’est simple, et il suffit qu’un ventilateur soit au mauvais endroit, ou fonctionne dans le sens opposé à celui qu’il devrait avoir pour un bon refroidissement, pour que l’équilibre soit rompu et que les degrés montent vite dans la tour ! Même le fait d’adopter des matériaux comme l’aluminium à la place de l’acier peut parfois être compromis par une mauvaise gestion des flux intérieurs de la tour, bien que ce matériau soit à la base un meilleur conducteur thermique bien que plus onéreux, et pourrait faire penser qu’il favoriserait encore le refroidissement c’est le cas lorsque le refroidissement et le flux d’air interne sont bien maîtrisés, sinon il n’apporte pas beaucoup plus, si ce n’est plus de légèreté à l’ensemble. Mais quelle est exactement l’influence du refroidissement sur les composants de l’ordinateur ?Il ne faut pas perdre à l’esprit qu’un composant électronique a la fâcheuse habitude de dissiper une certaine quantité et pas des moindres de l’énergie électrique absorbée en chaleur. Cette chaleur est d’ailleurs l’ennemi numéro un des composants, notamment si ce sont par exemple des puces comme le processeur ou une puce graphique. Si la dissipation est mal assurée, le composant va chauffer et perdre de sa stabilité, provoquant alors par exemple ces fameux écrans bleus ou des reboots intempestifs de la machine. Si de surcroit le composant est overclocké ou souvent très sollicité, il va chauffer encore plus, et son refroidissement va devenir crucial ! Voilà pourquoi le refroidissement interne d’une tour devient très important, car si ce dernier n’est pas à la mesure de la dissipation thermique interne, la configuration deviendra d’une part instable, et d’autre part, risque même de vieillir prématurément, voire même de griller purement et simplement ! Mais comment faire alors, ou quel est le principe de base ?Afin de bien faire comprendre ce qui se passe dans une tour, il faut faire une analogie avec une boîte, par exemple en carton, dans laquelle des trous sont réalisés au fur et à mesure, chacun pour accueillir un ventilateur. Il ne faut pas non plus négliger par la suite la surface et le débit de chacun d’entre eux, mais pour l’instant, la meilleure des choses est de partir sur le principe que tous les ventilateurs sont identiques et ont donc les mêmes caractéristiques physiques de débit et pression d’air, ce qui simplifiera le raisonnement et la compréhension. Ensuite, il faut privilégier le flux naturel de l’air chaud, à savoir du bas vers le haut, et jamais l’inverse, du moins si possible. En effet, l’air réchauffé a la particularité de s’élever naturellement, d’où l’importance de prévoir au moins une ouverture principale dans la partie haute du boîtier, pour favoriser son extraction naturelle. Premier cas C’est celui des tours d’il y a dix ans environ. Un ventilateur est mis à l’avant, en général du 80mm de diamètre, et l’alimentation elle-même est généralement équipée du même type de ventilateur. L’air frais est aspiré à l’avant de la tour, par la partie inférieure, qui prend de l’air un peu plus frais que s’il devait être aspiré plus haut. Il est ensuite dirigé vers l’intérieur de la tour, où il va être réchauffé par les composants à refroidir, et extrait par le haut, en passant par l’alimentation, puis rejeté à l’arrière de la tour, après avoir également refroidi cette dernière. Le flux de l’air est somme toute assez simple, mais réduit. Il s’assimile à un flux dans un tuyau, à savoir qu’il y a autant de molécules d’air qui sont aspirées que de molécules d’air qui sont extraites. Normalement, avec ce principe, la pression et le débit sont constants et à peu près équivalents à ce qui pourrait arriver à pression atmosphérique équivalente, à ceci près que ce n’est pas un tuyau, mais l’intérieur d’une tour, et que les composants à refroidir se comportent comme autant de chicanes à contourner et à franchir par l’air qui est alors ralenti et freiné. De plus, ces derniers provoquent des turbulences dans la tour, qui diminuent alors encore plus l’échange possible des calories. C’est pourquoi de nos jours, la majorité des alimentations vendues le sont avec des câbles gainés, permettant de limiter ces turbulences et favorisant l’écoulement du flux d’air dans la tour. Deuxième cas C’est celui des tours d’il y a environ cinq ans en arrière. Cette fois-ci, comme pour une majorité d’alimentations, les boîtiers ont adopté des ventilateurs plus grands, de l’ordre de 120mm de diamètre, et souvent d’autres emplacements commencent à fleurir comme sur le panneau latéral, avec souvent des possibilités d’y rajouter un ventilateur auxiliaire. L’emplacement de l’alimentation est souvent ramené en bas de la tour, avec une possibilité pour cette dernière d’aspirer son propre air frais par le bas, sans influer directement sur le flux d’air interne de la tour. Comme les ventilateurs sont plus grands, le flux d’air devient plus important, et doit logiquement mieux refroidir les différents composants. Mais ce n’est pas toujours le cas ! En effet, la quantité d’air rentrant dans la tour doit être égale à la quantité d’air sortant de la tour, au risque si ce n’est pas le cas, de créer une dépression ou au contraire une pression qui va fortement perturber le pouvoir refroidissant du flux d’air. C’est en fait dû aux emplacements complémentaires qui vont casser cet équilibre, car ces ouvertures supplémentaires, équipées ou non de ventilateurs, vont provoquer soit des pressions supérieures, ou inférieures à la pression atmosphérique, ou même encore des court-circuitages de flux, et provoquer des fuites incontrôlées de ce dernier à différents endroits de la tour ! Si par exemple un ventilateur équipe un emplacement complémentaire, il va au même titre que les autres ventilateurs soit aspirer, soit extraire de l’air. À supposer qu’il existe un ventilateur de 120mm en aspiration à l’avant et en bas de la tour, un autre en extraction, toujours de 120mm à l’arrière et en haut de la tour, le troisième, par exemple de 80mm va soit aspirer de l’air frais de l’extérieur pour le ramener à l’intérieur de la tour, et ainsi provoquer une surpression, soit extraire de l’air chaud de l’intérieur de la tour, et provoquer une dépression. Dans les deux cas, la quantité de l’air aspiré n’est pas égale à la quantité de l’air extrait ! De plus, le flux d’air va être perturbé, car va soit devoir se séparer à un moment donné, soit être complémentaire à un autre ! Et c’est sans compter que les ventilateurs vont alors forcer, certains en tournant alors plus vite, et d’autres moins vite à cause du nombre de molécules d’air qui doit logiquement s’équilibrer dans la tour ! Ce qui d’une part va provoquer un moins bon refroidissement, et d’autre part plus de bruit ! À choisir parmi les deux solutions, ce serait celle du 80mm en aspiration d’air frais de l’extérieur qui serait néanmoins la meilleure, provoquant une surpression dans la tour, et obligeant alors les molécules d’air à sortir là où elles le peuvent ! Et l’endroit le plus facile pour ces dernières reste alors le ventilateur du haut, qui sera alors forcé en rotation et tournera plus vite que pour ce qu’il a été prévu initialement. À contrario, les deux autres ventilateurs vont forcer dans l’autre sens, à savoir qu’ils vont être ralentis, car ils amènent de la pression d’air dans la tour ! Néanmoins, il peut également y avoir des court-circuitages de molécules d’air, par exemple entre le ventilateur latéral et une ouverture arrière de la tour. Dans ce cas précis, l’air frais arrivant dans le boîtier se voit par exemple directement refoulé vers l’arrière de la tour, sans pour autant avoir réellement contribué au refroidissement de certains composants ! C’est en fait le surplus de pression qui va faire ceci, un peu à la manière d’une fuite d’un fluide sur une canalisation ! Il y aura alors un meilleur équilibre des pressions, mais plus contraignant car moins efficace que si tout l’air devait ressortir pas le ventilateur arrière ! Et c’est également sans compter les différentes perturbations de flux internes provoqués par la non linéarité de la progression des molécules d’air dans la tour ! Troisième cas Cette fois-ci, la tour est assimilable à ce qu’il se fait actuellement. Des emplacements pour ventilateurs fleurissent un peu partout tout autour du boîtier, en favorisant des ventilateurs toujours plus grands, mais tournant moins vite, privilégiant ainsi aussi une diminution du bruit tout en conservant un débit élevé d’aspiration ou d’extraction des molécules d’air dans la tour. Mais les choses se compliquent. En effet, cette fois-ci, ce sont plusieurs ventilateurs qui entrent en jeu, avec pour chacun son flux et sa pression propres, sans compter que différents diamètres peuvent encore rajouter une certaine incertitude, et surtout et avant tout, des turbulences encore plus grandes et nombreuses dans le boîtier. Là encore, il faut tout d’abord privilégier le flux naturel de l’air chaud, à savoir du bas vers le haut, puis essayer d’équilibrer au maximum des différents flux et les pressions résultantes, en essayant de limiter au maximum les court-circuitages des molécules d’air ! Mais l’adéquation n’est pas facile. Cependant, les boîtiers actuels sont généralement déjà équipés de ventilateurs, prévus pour fonctionner dans un sens précis, et censés être placés à des points stratégiques en fonction de la géométrie et des emplacements des différents composants dans la tour. Un tel boîtier propose alors généralement une solution des plus performantes, alliant un flux d’air optimisé, un minimum de différences de pression, et surtout une gestion intelligente et testée des flux entrants et sortants, avec le moins de turbulences résultantes possibles. Néanmoins, dans le cas d’une modification du refroidissement des composants, comme par exemple dans le cas d’un ou plusieurs watercoolings, il faut alors réfléchir à retrouver un équilibre des pressions et un flux d’air optimisé dans le boîtier. Et le cas du watercooling ?C’est un cas un peu à part. En fait, le principe est de prendre l’air frais de l’extérieur pour refroidir le ou les radiateurs, rejetant ainsi l’air réchauffé vers l’intérieur du boîtier, qui devra ensuite être très vite extrait pour éviter de faire monter la température interne de ce dernier. Cette solution a le mérite de prendre le maximum d’air frais pour évacuer les calories du ou des circuits d’eau, mais a l’énorme inconvénient de réchauffer rapidement l’intérieur de la tour et certains composants. Une autre école, cette fois-ci, propose de prendre l’air légèrement réchauffé par certains composants à l’intérieur de la tour, pour l’extraire en passant par les radiateurs de watercooling. L’intérêt premier et de favoriser le flux naturel de l’air chaud, mais va provoquer un peu une perte en performance ou en efficacité lorsqu’il faudra refroidir les radiateurs, car l’air est un peu plus chaud, ou moins frais, qu’à l’extérieur de la tour. Néanmoins, tous les autres composants respireront mieux, et garderont leur stabilité contrairement à l’autre système. Les règles à respecter pour garder une tour bien aérée et fraiche La première est qu’il faut bien évidemment avoir un boîtier à la mesure de la configuration qui va y prendre place, de préférence suffisamment grand pour tout placer, et laisser de l’espace pour que l’air puisse circuler assez librement sans être gêné par les câbles et autres composants pouvant se comporter comme une multitude de chicanes, freinant au passage les molécules d’air qui y circulent, et créant des turbulences néfastes au bon refroidissement de l’ensemble. La deuxième est que plus le boîtier sera équipé de ventilateurs, et plus il aura la possibilité de faire circuler un flux d’air pour expulser les calories des composants. La troisième est de favoriser le flux ascendant de l’air chaud, à savoir du bas vers le haut. La quatrième est de garder un équilibre entre les différents flux d’air rentrants et sortants, de telle manière à éviter au maximum une surpression ou au contraire une dépression dans la tour. En fait, il ne faut pas créer par exemple de phénomène entonnoir » , que ce soit dans un sens ou dans l’autre, mais plutôt favoriser un phénomène de tube, où le diamètre d’entrée soit équivalent au diamètre de sortie, à condition bien sûr aussi que le débit rentrant soit équivalent au débit sortant, ce qui suppose connaître les caractéristiques des ventilateurs utilisés ! La cinquième est d’éviter les phénomènes de court-circuitage des molécules d’air, c’est-à -dire qu’à peine rentrées dans la tour, elles ressortent sans avoir réellement joué leur rôle initial de conduction de la chaleur, ce qui nuit au bon refroidissement et crée des turbulences inutiles ! La sixième est de favoriser un flux de bas en haut, et de l’avant vers l’arrière, de telle manière à prendre l’air frais là où il est le plus facile à trouver, puis de l’évacuer là où il est le plus pratique à le faire, sans pour autant compromettre la fraicheur du flux rentrant ! La septième est que pour le cas d’un watercooling, il vaut parfois mieux prendre l’air légèrement réchauffé de l’intérieur de la tour pour ensuite refroidir le radiateur d’eau l’échangeur que de prendre l’air frais de l’extérieur et faire de même au niveau de l’échangeur, et se retrouver avec une atmosphère encore plus chaude à l’intérieur de la tour ! Le rangement des différents câbles influe également sur le rendement du refroidissement. S'ils sont mal rangés, ils perturbent le flux d'air en le freinant et atténuent l'efficacité de ce dernier ! Pour terminer, il ne faut pas oublier que le débit d'air rentrant doit être égal au débit d'air sortant, sans oublier certaines catrtes graphiques qui peuvent aussi contribuer à modifier ce dernier. Quelques exemples basiques de modèles à conseiller pour un refroidissement optimisé d’une tour Dans le premier cas C'est le modèle d'une tour d'il y a environ dix ans en arrière. Le refroidissement est minimum et se cantonne à sa plus simple expression. Néanmoins, il faut privilégier l'aspiration d'air frais à l'avant et l'extraction de l'air réchauffé à l'arrière. Dans le deuxième cas Deux modèles différents d'il y a environ cinq ans en arrière, avec ci-dessus le plus ancien, où l'alimentation se trouve encore dans la partie supérieure et est obligée d'extraire ses propres calories, mais également celles de l'intérieur de la tour. Ci-dessous, un modèle un peu plus récent, où cette fois-ci l'alimentation est ramenée dans la partie inférieure, ce qui lui permet de profiter d'air frais du dessous du boîtier pour dissiper ses propres calories. Son ancienne place a été prise par un ventilateur qui extrait la chaleur de l'intérieur de la tour. Ce n'est pas encore la panacée, mais c'est déjà mieux. Dans le troisième cas Cette fois-ci, il commence à y avoir des ventilateurs un peu partout, et presque tout autour de la tour. C'est assez le cas de figure des boîtiers actuels, avec des ventilateurs à grands diamètres, et donc des débits et des flux d'air importants. Et en augmentant encore certains diamètres de ventilateurs, les débits deviennent de plus en plus importants, et le refroidissement intérieur du boîtier et des composants en profite assez largement. L'exemple du HAF 932 C'est un boîtier qui comme expliqué plus haut, et composé en grande partie de métal "mesh", à savoir de métal perforé un peu à la manière de nids d'abeilles. De plus, il a la particularité de pouvoir être équipé de ventilateurs différents en diamètres, et même en nombre ! Son pouvoir refroidissant est énorme, car l'air frais peut même provenir de la partie basse de la tour, soit simplement en traversant les perforations du métal mesh, soit en étant aspiré par un ventilateur. La partie supérieure n'est pas en reste, car peut également proposer l'implantation de plusieurs ventilateurs. Il est actuellement possible de trouver des boîtiers équivalents dans le commerce, et proposant aussi de telles possibilités, afin de pouvoir refroidir efficacement des configurations musclées. Ci-dessus, le boîtier fermé, et ci-dessous, le boîtier ouvert, avec une alimentation en place. Puis cette même tour avec une configuration musclée. Il va être intéressant de voir comment se déplacent les molécules d'air dans la tour, d'abord sans la configuration, puis avec la configuration. Les sens des flux d'air sans la configuration Puis avec la configuration Contrairement à ce que tout le monde pourrait penser, il n'y a pas de déséquilibre de flux dans la tour. En fait, bien qu'il y ait deux ventilateurs de 230mm et un ventilateur de 120mm qui envoient de l'air frais dans la tour, il n'y a qu'un ventilateur de 230mm et un autre de 120 ou 140mm en extraction, mais où va le reste ? Tout simplement par les cartes graphiques, qui elles aussi nécessitent un flux d'air important pour chacune ! Et l'alimentation quant à elle bénéficie de son propre flux d'air frais ! Ensuite, le métal mesh permet un tant soit peu d'équilibrer si nécessaire encore en laissant passer l'air par ses trous. Donc dans l'ensemble, les flux d'air s'équilibrent ! Ci-dessus, un exemple de métal mesh. Il devient donc évident qu'il faut alors faire le bilan des différents flux rentrants et sortants de la tour, tout en gardant les principes de base énumérés plus haut, sans quoi il risque vite d'y résulter un déséquilibre qui va induire un mauvais refroidissement de l'ensemble. Et dans le cas d'une configuration à base de watercooling ?Dans ce type de configuration, il va falloir bien recenser les flux rentrants et sortants, et de préférence, travailler avec les caractéristiques des ventilateurs données par les fabricants, mais également comme vu juste précédemment, avec ceux des cartes graphiques qui vont aussi influencer ce calcul. Voici ci-dessous un exemple un peu extrême de refroidissement avec pas moins de deux watercoolings ! Le pré-projet, bien qu'alléchant, démontre deux gros problèmes. Le premier est que l'air réchauffé par le ventirad du bas va ensuite logiquement refroidir le ventirad du haut, mais étant déjà chargé de calories, le rendement de ce dernier va être mauvais ! Le deuxième est moins évident, mais néanmoins compréhensible. En fait, deux ventilateurs font passer l’air du bas vers le haut dans le premier ventirad, puis quatre ventilateurs, trois sur le ventirad du haut et un à l’arrière essaient de chasser ces calories accumulées. Le problème est qu’une dépression se crée entre les deux ventirads, annulant une certaine capacité de refroidissement de l’ensemble ! Une solution, bien que moyenne, en absence d’autres ouvertures possibles dans la tour, est de retourner le ventilateur arrière, afin d’une part de rééquilibrer les pressions, et d’autre part ramener de l’air frais entre les deux ventirads, afin d’améliorer le refroidissement du deuxième celui du haut. Ainsi, avec un simple ventilateur retourné, il est possible de voir que le rendement d’un refroidissement peut être nettement amélioré ! Il faudra également y penser lorsque votre tour devra être montée et équipée de ventilateurs ! L'exemple du 500DX de be quiet! C'est l'exemple type du boîtier actuel avoir la possibilité de monter plusieurs ventilateurs au niveau de la façade avant, idem au niveau de la partie supérieure, ou encore, faire de même avec des watercoolings AIO, aux mêmes emplacements ! Ci-dessous, les deux exemples types de ce qui est possible de faire, et même pourquoi pas, de panacher encore par exemple avec du ventilateur à l'avant et un AIO au dessus, ou l'inverse même ! Voici l'exemple d'un panachage, avec des ventilateurs sur l'avant et un watercooling au dessus Il est à noter qu'un deuxième ventilateur a été placé en renfort à l'avant et en complément du premier d'origine, afin de compenser les flux d'air entrant et les flux d'air sortant, et garder un équilibre de ces derniers ! Un dernier point à ne pas négliger Si avec tout ceci, vous avez compris que qui est à faire, ou ce qui est à éviter, pensez également que les différents câbles qui passent dans la tour créent autant de perturbations qui affaiblissent et freinent votre flux d'air interne, et que bien les ranger et soigner leur montage favorisera encore le refroidissement interne de la tour et des composants ! Ci-dessous, l'exemple du HAF qui n'était pas optimisé pour le rangement des câbles, provoquant de nombreuses turbulences dans la tour, et donc un flux d'air freiné ! Là encore, les boîtiers actuels, comme le 500DX, permettent d'une part un rangement bien plus efficace et esthétique des câbles, et de libérer les flux d'air dans la tour, tout en compartimentant l'alimentation et ses nombreux câbles qui en sortent, sans pour autant déranger le passage de l'air ! Ci-dessous, l'exemple du 500DX, qui permet de ranger proprement un maximum de câbles, et donc d'optimiser au maximum le flux d'air interne Le câble management limite au maximum les turbulences provoquées par les câbles dans la tour, et le compartiment inférieur du boîtier permet de cacher l'alimentation et ses nombreux câbles, tout en lui garantissant son propre flux d'air ! Et comment refroidir un PC portable ?Contrairement à un Boitier de PC, la méthode pour refroidir un ordinateur portable est plus facile ! Si votre PC monte en température quand vous jouez à vos jeux préférés, vous pouvez utiliser un refroidisseur pour pc portable. En fait, ici pas de prise de tête, le refroidisseur est prévu pour éviter une surchauffe des composants de votre appareil, grâce à des ventilateurs qui soufflent directement sous la base de votre portable et aident à son refroidissement actif, et à un apport plus conséquent d'air frais pour la propre ventilation du portable. Il vous suffit alors simplement de placer votre PC portable sur son support et vous êtes parti pour geeker toute la nuit sans accroc ! Nous vous proposons d'ailleurs de découvrir un beau complément pour ce type de refroidissement chez notre confrère EDIT du 14 octobre 2013 Quelques compléments encore à découvrir !
Paspratique pour faire un trou net et éviter de casser les carreaux. Heureusement, il existe une astuce simple pour faire un trou dans le carrelage sans l'abîmer. L'astuce consiste à utiliser du ruban adhésif là où vous allez percer. Voici le truc simple et efficace pour faire un trou facilement dans du carrelage. Regardez : Sommaire.
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agrandir un trou dans de l aluminium