Inclassable: Aujourd'hui, voulant paraĂźtre sympathique, je parle avec une - VDM. Tout Presque VDM Le top. Par evette57 - 17/06/2010 11:13 - Luxembourg. Aujourd'hui, voulant paraĂźtre sympathique, je parle avec une fille de ma rĂ©sidence : "Ah, toi aussi, tu as dĂ©cidĂ© de rester toute la journĂ©e en pyjama ?" RĂ©ponse : "Non."Bekijk deze pagina in frans Eh bien c'est ce qui rend cette ville ben niet eens zeker wat ik wilde toen ik van Hamilton naar New York ging. zak bruine chutneys!Tu crois pouvoir entrer ici et me pousser Ă fuir avec toi?Dat je nu zomaaral de dingen zegt die ik twee jaar geleden wilde horen Zodat ik er met je vandoor ga?Dus ik dacht⊠wat ik je wilde vragen was⊠of je mij wilt helpen?Ik zag je gezichttoen je wegliep en ik voelde me verschrikkelijk. Ik wilde het ik hier woon besef ik dat ik van alles niet onder ogen wilde prend les images gĂ©o-localisĂ©es de Flickr et utilise des processus similaires auxDit neemt geo-geregistreerde foto's van Flickr engebruikt photosynth-achtige processen om die beelden te verbinden met onze beelden dus- Ik weet niet zeker of ik deze wel wilde laten zien was in de war dus ging ik terug naar haar appartement en⊠dacht dat ik vinden zou waar ik naar op zoek was maar ik vond weet dat je denkt dat je hebt begrepen watje dacht dat ik gezegd heb maar ik weet niet zeker of je je wel gerealiseerd hebt dat wat jij gehoord hebt niet is wat ik spijt me. Zo bedoelde ik het niet. Uitslagen 26064, Tijd LeproblĂšme avec toi, c'est que tu veux le beurre et l'argent du beurre. C'est tout ce que je voulais savoir ! c'est venu derniĂšrement Ă mes royales oreilles que tu voulais rester dans la jungle Ce que je voulais dire, en fait, c'est que comprĂ©hensible Ă©tant donnĂ© qu'il ne voulais pas dĂ©lĂ©guer Depuis le temps que je voulais que tu le sois de moi EN: Depuis longtemps je voulais Utilisez le dictionnaire Français-Italien de Reverso pour traduire que je voulais rester et beaucoup dâautres mots. Vous pouvez complĂ©ter la traduction de que je voulais rester proposĂ©e par le dictionnaire Collins Français-Italien en consultant dâautres dictionnaires spĂ©cialisĂ©s dans la traduction des mots et des expressions Wikipedia, Lexilogos, Oxford, Cambridge, Chambers Harrap, Wordreference, Collins, Merriam-Webster ... Dictionnaire Français-Italien traduire du Français Ă Italien avec nos dictionnaires en ligne ©2022 Reverso-Softissimo. All rights reserved.
Cest Toi qui me parle de ça?-Je voulais seulement que ma fille ne rĂ©pĂšte pas les mĂȘmes erreurs que moi. Je me suis mariĂ©e avec ton pĂšre alors quâil nâavait rien et quâest-ce que jâai gagnĂ© en Ă©change? 2 coĂ©pouses ! -Si tu voulais les faire sortir, tu as un moyen. -Maintenant tu es ma prioritĂ©. Ton pĂšre peut aller au diable avec ses deux vipĂšres. Quand Momar tâĂ©pousera
Je voulais ĂȘtre comme la fille de Yiphtah Par Joanna Soans Adolescente, je rĂȘvais dâĂȘtre comme la fille de Yiphtah. Laissez-âmoi vous expliquer ce que je veux dire par lĂ et comment ma vie a fini par ressembler Ă la sienne. EN 1956, jâai assistĂ© Ă ma premiĂšre assemblĂ©e des TĂ©moins de JĂ©hovah Ă Bombay aujourdâhui Mumbai, en Inde. Cet Ă©vĂ©nement a changĂ© ma vie. Jâai Ă©tĂ© profondĂ©ment Ă©mue par un discours que jây ai entendu au sujet de la fille de Yiphtah. Peut-ĂȘtre lâavez-âvous lu dans la Bible, alors quâelle nâĂ©tait apparemment quâune adolescente, la fille de Yiphtah a acceptĂ© de ne jamais se marier. Elle a ainsi permis Ă son pĂšre de respecter un vĆu quâil avait fait. Elle est donc restĂ©e cĂ©libataire et a servi dans la maison de JĂ©hovah, ou tabernacle, toute sa vie. â Juges 1128-40. Quâest-âce que je voulais ĂȘtre comme elle ! Mais le gros problĂšme, câest quâĂ lâĂ©poque, en Inde, ne pas se marier Ă©tait contraire Ă notre culture. Mes origines familiales Mes parents Benjamin et Marcelina Soans ont eu six enfants. JâĂ©tais la cinquiĂšme. Nous vivions Ă Udipi, sur la cĂŽte ouest de lâInde. Notre langue maternelle est le tulu, parlĂ©e par prĂšs de deux millions de personnes. Mais comme la plupart des habitants dâUdipi, nous avons reçu notre instruction en langue kannada. Se marier et avoir des enfants a toujours Ă©tĂ© trĂšs important dans cette rĂ©gion. Dans ma jeunesse, je ne me souviens pas avoir appris en tulu les mots pour â cĂ©libat â, â solitude â ou â mal du pays â. Câest comme si ces notions nâexistaient pas. Par exemple, notre famille vivait sous le mĂȘme toit que mes grands-parents, mes oncles, mes tantes et une dizaine de cousins et cousines ! Notre sociĂ©tĂ© Ă©tait traditionnellement matrilinĂ©aire les enfants Ă©taient considĂ©rĂ©s comme faisant partie de la famille de la mĂšre. Câest par elle que se prolongeait la lignĂ©e, et les filles recevaient une plus grosse part dâhĂ©ritage. Dans certaines communautĂ©s parlant le tulu, une fois mariĂ©e, une fille vivait toujours avec sa mĂšre et son mari la rejoignait. Notre famille sâĂ©tant convertie au christianisme, les choses Ă©taient un peu diffĂ©rentes. Tous les soirs, mon grand-pĂšre dirigeait le culte pour la famille. Il priait et lisait la Bible Ă haute voix en tulu. Ă chaque fois quâil ouvrait sa Bible tout abĂźmĂ©e pour nous la lire, câĂ©tait comme sâil ouvrait une boĂźte Ă bijoux. CâĂ©tait passionnant ! JâĂ©tais fascinĂ©e par le Psaume 231 â JĂ©hovah est mon Berger. Je ne manquerai de rien. â Qui est JĂ©hovah, me demandais-âje, et pourquoi est-âil appelĂ© Berger ? Des Ă©cailles me sont tombĂ©es des yeux AprĂšs la DeuxiĂšme Guerre mondiale, les difficultĂ©s Ă©conomiques nous ont poussĂ©s Ă dĂ©mĂ©nager Ă Bombay, Ă plus de 900 kilomĂštres. Câest lĂ quâen 1945 deux TĂ©moins de JĂ©hovah ont rendu visite Ă mon pĂšre et lui ont donnĂ© une brochure basĂ©e sur la Bible. Papa lâa lue avec empressement. CâĂ©tait comme si la pluie tombait enfin sur une terre dessĂ©chĂ©e. Il sâest aussitĂŽt mis Ă parler de ce message avec les personnes dâexpression kannada. Au dĂ©but des annĂ©es 50, un petit groupe dâĂ©tude Ă©tait devenu la premiĂšre congrĂ©gation dâexpression kannada Ă Bombay. Papa et Maman nous ont appris Ă ĂȘtre des Ă©tudiants assidus de la Bible et de bons enseignants. Chaque jour, ils trouvaient des occasions de prier et dâĂ©tudier avec nous DeutĂ©ronome 66, 7 ; 2 TimothĂ©e 314-16. Une fois, alors que je lisais la Bible, des Ă©cailles me sont pour ainsi dire tombĂ©es des yeux Actes 918. Jâai appris que JĂ©hovah est comparĂ© Ă un berger parce quâil guide, nourrit et protĂšge ses adorateurs. â Psaume 231-6 ; 8318. JĂ©hovah mâa tenu la main Je me suis fait baptiser peu aprĂšs la mĂ©morable assemblĂ©e de district de Bombay en 1956. Six mois plus tard, jâai suivi lâexemple de mon frĂšre aĂźnĂ© Prabhakar en devenant Ă©vangĂ©lisatrice Ă plein temps. Jâavais envie de parler des vĂ©ritĂ©s bibliques, mais ma bouche sâassĂ©chait dĂšs que jâessayais. Je bĂ©gayais et ma voix tremblait. â Je ne peux y arriver quâavec lâaide de JĂ©hovah â, me suis-âje dit en pleurant. JĂ©hovah mâa apportĂ© de lâaide par lâintermĂ©diaire de Homer et Ruth McKay venus du Canada. Ils avaient suivi les cours de lâĂ©cole des missionnaires des TĂ©moins de JĂ©hovah Ă New York en 1947. Ils mâont en quelque sorte tenu la main lorsque je faisais mes premiers pas maladroits dans la prĂ©dication. Ruth rĂ©pĂ©tait rĂ©guliĂšrement des prĂ©sentations pour le porte-Ă -porte avec moi. Elle savait exactement comment calmer ma nervositĂ©. Elle prenait mes mains tremblantes et disait â Ne tâen fais pas, ma chĂ©rie. Essayons Ă la porte suivante. â Sa voix rassurante me donnait du courage. Un jour, on mâa appris quâElizabeth Chakranarayan, une enseignante de la Bible expĂ©rimentĂ©e, plus ĂągĂ©e que moi, mâaccompagnerait dans la prĂ©dication. Ma premiĂšre rĂ©action Comment vais-âje faire pour vivre avec cette sĆur ? Elle est bien plus ĂągĂ©e que moi ! Finalement, elle sâest rĂ©vĂ©lĂ©e ĂȘtre exactement la compagne dont jâavais besoin. â Nous ne sommes jamais vraiment seuls â Notre premiĂšre affectation Ă©tait la ville historique dâAurangabad, Ă environ 400 kilomĂštres Ă lâest de Bombay. Nous avons vite compris que nous Ă©tions les deux seules TĂ©moins dans une ville de prĂšs dâun million dâhabitants. De plus, il mâa fallu apprendre le marathi, la langue principale de la ville. De temps Ă autre, des vagues de solitude me submergeaient et je pleurais comme une orpheline. Mais Elizabeth mâencourageait dâune voix affectueuse. â On se sent seul parfois, mais en fait, on nâest jamais vraiment seul, disait-âelle. MĂȘme si tu es loin de tes amis et de ta famille, JĂ©hovah est toujours prĂšs de toi. Fais de lui ton ami et ta solitude sâenvolera vite. â Ce conseil mâest encore prĂ©cieux aujourdâhui. Quand nous manquions dâargent pour payer les transports, nous faisions jusquâĂ 20 kilomĂštres Ă pied par jour dans la chaleur et la poussiĂšre, dans le froid et la boue. LâĂ©tĂ©, les tempĂ©ratures atteignaient souvent les 40 °C. Pendant la mousson, certains endroits du territoire restaient boueux pendant des mois. Toutefois, pour nous, le vĂ©ritable dĂ©fi nâĂ©tait pas la mĂ©tĂ©o mais les coutumes des habitants. Les femmes ne parlaient pas avec les hommes en public Ă moins dâĂȘtre de la mĂȘme famille et il Ă©tait rare quâune femme enseigne un homme. Nous avons dĂ» affronter les moqueries et les insultes. Pendant les six premiers mois, nous nâĂ©tions que toutes les deux pour tenir les rĂ©unions bibliques hebdomadaires. Petit Ă petit, des personnes intĂ©ressĂ©es par la vĂ©ritĂ© se sont jointes Ă nous. Certaines nous accompagnaient mĂȘme dans la prĂ©dication. Un petit groupe sâest formĂ©. â Cherche toujours Ă progresser â Au bout de deux ans et demi, nous avons de nouveau Ă©tĂ© envoyĂ©es Ă Bombay. Tandis quâElizabeth continuait de prĂȘcher, on mâa demandĂ© dâaider mon pĂšre, qui Ă©tait Ă cette Ă©poque le seul traducteur de nos publications bibliques en langue kannada. Il a Ă©tĂ© ravi de mon aide, car il assumait de nombreuses responsabilitĂ©s dans la congrĂ©gation. En 1966, mes parents ont dĂ©cidĂ© de retourner Ă Udipi, notre ville dâorigine. Avant de quitter Bombay, mon pĂšre mâa dit â Cherche toujours Ă progresser, ma fille. Traduis simplement et clairement. Ne sois pas trop sĂ»re de toi, et reste humble. Appuie-âtoi sur JĂ©hovah. â Ce sont les derniers conseils quâil mâa donnĂ©s. Il est dĂ©cĂ©dĂ© peu aprĂšs son retour Ă Udipi. JusquâĂ prĂ©sent, je me suis efforcĂ©e de bien suivre ses recommandations dans mon travail de traduction. â Tu ne veux pas te marier ? â Selon la tradition en Inde, les parents organisent la vie de leurs enfants de maniĂšre Ă ce quâils se marient jeunes et ils les encouragent Ă avoir des enfants. On mâa donc souvent demandĂ© â Tu ne veux pas te marier ? Qui prendra soin de toi quand tu vieilliras ? Tu ne te sentiras pas seule ? â Parfois je souffrais de ce genre de remarques rĂ©pĂ©tĂ©es. En public je cachais mes sentiments, mais dĂšs que jâĂ©tais seule, jâĂ©panchais mon cĆur auprĂšs de JĂ©hovah. JâĂ©tais rĂ©confortĂ©e de savoir que pour lui, ce nâest pas parce que jâĂ©tais cĂ©libataire quâil me manquait quelque chose. Pour renforcer ma rĂ©solution Ă le servir sans distraction, je pensais Ă la fille de Yiphtah ainsi quâĂ JĂ©sus ; tous deux sont restĂ©s cĂ©libataires et Ă©taient bien occupĂ©s Ă faire la volontĂ© de Dieu. â Jean 434. Un don de JĂ©hovah Elizabeth et moi sommes restĂ©es de bonnes amies pendant prĂšs de 50 ans. Elle est morte en 2005 Ă lâĂąge de 98 ans. Ă la fin de sa vie, elle ne pouvait plus lire la Bible parce que sa vue avait baissĂ© ; alors elle passait la plus grande partie de chaque journĂ©e Ă prier Dieu intimement. Quelquefois, je pensais quâelle parlait dâun verset biblique avec quelquâun dans sa chambre, mais en fait elle parlait Ă JĂ©hovah. Il Ă©tait une personne bien rĂ©elle pour elle, et elle vivait comme sâil Ă©tait physiquement prĂšs dâelle. Jâai appris que câest ça le secret pour rester inĂ©branlable au service de Dieu, comme la fille de Yiphtah. Je suis trĂšs reconnaissante Ă JĂ©hovah de mâavoir donnĂ© une sĆur plus ĂągĂ©e, plus mĂ»re, pour me former pendant ma jeunesse et Ă travers tous mes combats. â EcclĂ©siaste 49, 10. Combien de bĂ©nĂ©dictions jâai reçues Ă servir JĂ©hovah comme la fille de Yiphtah ! En restant cĂ©libataire et en suivant les conseils de la Bible, jâai pu avoir une vie riche et satisfaisante dans â le service assidu du Seigneur, sans distraction â. â 1 Corinthiens 735. [Illustration, page 28] Mon pĂšre prononçant un discours public Ă Bombay dans les annĂ©es 50. [Illustration, page 28] Avec Elizabeth peu avant sa mort. [Illustration, page 29] Nous annonçons un discours biblique Ă Bombay en 1960. [Illustration, page 29] Notre Ă©quipe de traduction.
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