LAntiquité commence avec l'invention de l'écriture en Mésopotamie 3 500 ans avant la naissance de Jésus-Christ. C'est la période des premières grandes civilisations qui se développèrent sur tous les continents et notamment autour du bassin de la mer Méditerranée.. On considère généralement que l'Antiquité s'achève avec l'effondrement Dates de 6ème et 5ème VIIIème millénaire av J-C Découverte de l'agriculture en Mésopotamie. IVème millénaire av J-C Découverte de l'écriture en Mésopotamie. II à Ier millénaire av J-C Bible hébraïque pour les hébreux en Palestine. Vème s av J-C Apogée d'Athénes dirigée par Périclès, construction du Parthénon. 52 av J-C Victoire de César contre les Gaulois à Alésia. Ier s ap J-C Début de la chrétienneté et de l'enseignement de Jésus. IIIème s Apogée de l'empire Romain qui domine le bassin méditerranéen. Vème s Chute de l'empire romain d'occident envahi par les barbares tribus sous les ordres des Huns. 496 Baptème de Clovis roi des Francs. 622 Date de l'Hégire et du début de l'ère Musulmane, le prophète Mahomêt mieux appelé Mohamed est chassé de la Mecque et émigre à Médine. 987 Avènement de Hugues Capet et de la lignée des Capétiens fin des Carolingiens. XIIIème s Temps des cathédrales de style gothique. XIIIème s Règne de saint Louis aussi appelé Louis IX. 1453 Prise de Constantinople par les turcs. Vers 1454 Découverte de l'imprimerie par Gutenberg. 1492 Prise de Grenade ville située en Espagne. 1492 Découverte de l'Amérique par Christophe Colon. XVI Réformes protestantes et début du protestantisme avec Martin Luther et Calvin. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiDates de 4ème 1661 à 1715 Règne personnel de Louis XIV et première monarchie absolue. XVIIIém s Création de la Grande encyclopédie par les philosophes des lumières qui regroupent tout le savoir de l'époque et qui diffuse des idées de liberté contre le roi. XVIII-XIX s L'age industriel qui débute avec la création de la machine à vapeur par James WATT. 1789 Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et prise de la Bastille. 1792 Débuts de la république. 1804-1815 1er empire Napoléon se fait sacré empereur suite à son coup d'Etats de 1799. 1815-1848 Monarchie constitutionnelle avec Louis Philippe à sa tête. 1848-1852 IIème République 1852-1870 Second empire avec à sa tête Napoléon III. 1885 Louis Pasteur découvre le vaccin contre le rage. 1870-1940 IIIème République 1898 Affaire Dreyfus. Un jeune soldat juif français est déchu de ses fonctions, car il est accusé d'espionnage pour le compte de l'ennemi Allemand. Dates repères de 3ème Août 1914-1918 1ère guerre mondiale 1917 "La grande révolution" Révolution russe en octobre et peu de temps après le russes retirent leur armée du conflit de la 1ère guerre mondiale. 1929 Collectivisation des terres en URSS 1933 fin janvier Hitler devient chancelier. 1935 Loi de Nuremberg en Allemagne visant à écarter les juifs du reste de la population. 1936-1937 Grand procès de Moscou. 1936 Lois sociales du front populaire. 1939 le 1er septembre Invasion de la Pologne par l'Allemagne. 194018 juin Appel du général de Gaulle à Londres pour la résistance. 1944 Droit de vote des femmes. 1945 Création de la sécurité sociale. 1945mai Capitulation Allemande. 1945août Hiroshima les Américains envoient deux bombes atomiques au Japon. 1947 Plan Marshall pour remettre le niveau de l'économie française à celui qu'il avait en 1939. 1947 Indépendance de l'Inde avec comme figure clef Gandhi. 1947-1958 IVème République; 1949 République populaire de chine. 1961 13 août Construction du mur de Berlin. 1989 9 novembre Chute du mur de Berlin. 1991 Éclatement de l'URSS et fin du communisme. La plateforme qui connecte profs particuliers et élèves Vous avez aimé cet article ? Notez-le ! Mathieu Professeur d'histoire, de français et d'anglais dans le secondaire et le supérieur. J'aime la littérature, les jeux vidéo et la tartiflette. La dalle angevine me donne soif de savoirs ! II LE PEUPLE DE LA BIBLE : LES HÉBREUX (3 à 4 heures) - Carte: le Croissant fertile. L'étude des Hébreux est abordée à partir de la Bible, document historique majeur et livre fondateur de la première religion monothéiste de l'Antiquité, et des sources archéologiques.

l'invasion des étrangers nomades, Keftiou, Hébreux, Philistins, etc., l'Exode, le retour en scène des pharaons égyptiens de Claude Vandersleyen chez L'Harmattan Paru le 04/05/2016 Broché 187 pages Public motivé € Disponible - Expédié sous 12 jours ouvrés Quatrième de couverture L'Égypte au temps de Moïse Ce livre doit éclairer le mystère du peuple Keftiou mentionné dans les textes égyptiens. Il est apparu rapidement que l'histoire de ce peuple était parallèle à celle des Hébreux, des Philistins et autres nomades. Les sources sont donc doubles à la fois les récits de la Bible l'Exode et les documents historiques égyptiens. On doit y joindre les fragments de l'historien égyptien Manéthon 3e siècle avant Jésus-Christ et de rares informations en langue cunéiforme de Mari ou plus récentes d'Ougarit. Entre ces deux extrêmes se placent d'une part l'histoire des patriarches, depuis Abraham et l'entrée du peuple hébreu en Égypte et son Exode, et d'autre part l'arrivée de peuples asiatiques comme les hyksos » Manéthon c'est la Deuxième Période Intermédiaire de l'histoire d'Égypte. Biographie Claude Vandersleyen est né à Bruxelles le 26 septembre 1927. Docteur en Philologie classique thèse sur Les guerres d'Amosis, premier roi de la XVIIIe dynastie », il a enseigné l'art et la langue de l'Égypte ancienne de 1969 à 1991 à l'Université Catholique de Louvain.

Linvasion des étrangers nomades : Keftiou, Hébreux, Philistins, etc. - L'Exode - Le retour en scène des pharaons égyptiens par Claude Vandersleyen Résumé Il s'agit d'éclairer le 29 novembre 1947 l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux Etats indépendants, un juif et un arabe. Jérusalem est placé sous régime international. 14 mai 1948 à la fin du mandat britannique sur la Palestine, David Ben Gourion, président du Conseil national juif, proclame l'indépendance de l'Etat d'Israël. Le 15, éclate la première guerre israélo-arabe, les pays arabes refusant le plan de partage. Début de l'exode des Palestiniens. Les combats prennent fin en 1949 avec les accords de Rhodes fixant une ligne de démarcation qui demeurera jusqu'en 1967. 24 avril 1950 la Cisjordanie est annexée par le roi Abdallah de Jordanie. L'Egypte contrôle la bande de Gaza. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Octobre-novembre 1956 après la nationalisation du canal de Suez par le président égyptien Nasser, la seconde guerre israélo-arabe est déclenchée. A la fin de 1956, les Israéliens commencent à évacuer le Sinaï. Israël retrouve ses frontières de 1949. Octobre 1959 premier congrès du Fatah, créé au Koweït. 28 mai 1964 création de l'Organisation de Libération de la Palestine OLP, présidée par Ahmed Choukeiry. 5/10 juin 1967 Israël déclenche la troisième guerre israélo-arabe dite des "Six jours", et occupe le Sinaï, la bande de Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est et le plateau du Golan. 22 novembre 1967 le Conseil de Sécurité de l'ONU adopte à l'unanimité la résolution 242 qui prévoit l'évacuation " des " ou " de ", selon la version anglaise territoires occupés, en échange de la reconnaissance mutuelle de tous les Etats du Proche-Orient. Février 1969 Yasser Arafat est élu président du Comité exécutif de l'OLP. 1969-1970 une crise oppose, au Liban et en Jordanie, l'OLP aux gouvernements en place qui n'acceptent pas une présence palestinienne jugée envahissante. 17 septembre 1970 l'armée jordanienne liquide les forces combattantes palestiniennes après la destruction de 3 avions de ligne occidentaux sur le territoire jordanien. les combats entre armée jordanienne et fedayins palestiniens font des milliers de victimes civiles palestiniennes "Septembre noir". 5 septembre 1972 un commando palestinien tue onze membres de la délégation israélienne aux Jeux olympiques de Munich. 6/25 octobre 1973 quatrième guerre israélo-arabe dite "guerre de Kippour" ; l'armée égyptienne pénètre dans le Sinaï occupé mais doit se retirer. 22 octobre 1973 le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 338 qui appelle à un cessez-le-feu et à des négociations. 28 novembre 1973 la Ligue arabe reconnait l'OLP en tant que seul représentant du peuple palestinien. 13 novembre 1974 discours de Yasser Arafat à l'ONU. Le 22, l'Assemblée générale de l'ONU reconnaît le droit des Palestiniens "à la souveraineté et à l'indépendance nationale". 13 avril 1976 élections municipales en Cisjordanie et à Gaza occupés. Les candidats proches de l'OLP remportent 80% des sièges. 13 juin 1980 le Conseil européen adopte une résolution affirmant que le "peuple palestinien doit exercer son droit à l'autodétermination" et que "l'OLP doit être associée à toute négociation". 1980 naissance du Djihad islamique, scission des Frères musulmans, qui se cantonnent à l'action sociale. Mars-avril 1982 insurrection palestinienne dans les territoires occupés. Les maires élus sont destitués. 6 juin 1982 l'armée israélienne envahit le Liban -opération "Paix en Galilée"- et chasse de Beyrouth les organisations palestiniennes, dont l'OLP. 17-18 septembre 1982 assassinat à Beyrouth du président libanais Bechir Gemayel. Les Israéliens entrent à Beyrouth-Ouest. Massacre de civils par les milices chrétiennes dans les camps palestiniens de Sabra et Chatila, avec la complicité passive de Tsahal, l'armée israélienne. 1er octobre 1985 un raid de l'aviation israélienne contre le quartier général de l'OLP à Tunis fait 70 morts. 6 août 1986 le Parlement israélien vote une loi interdisant tout contact avec des dirigeants de l'OLP. 7 décembre 1987 début de l'Intifada soulèvement en arabe, également appelée "guerre des pierres" dans les territoires décembre 1987 création du Hamas mouvement de la résistance islamique par la société des Frères musulmans. 15 novembre 1988 à Alger, le Conseil national palestinien CNP, parlement en exil, proclame l'Etat palestinien indépendant et accepte les résolutions 242 et 338 de l'ONU, reconnaissant ainsi implicitement l'existence d'Israël. En décembre, devant l'ONU à Genève, Yasser Arafat, chef de l'OLP, reconnaît le droit d'Israël à vivre "en paix", et déclare renoncer totalement au terrorisme. 19892 mai en France, Yasser Arafat est reçu pour la première fois à l'Elysée par François Mitterrand. 2 janvier Ezer Weizman, ministre des Sciences et futur chef de l'Etat israélien est limogé pour avoir rencontré un membre de l'OLP. 199112 mars le secrétaire d'Etat américain James Baker rencontre pour la première fois des personnalités palestiniennes des territoires occupés. 30 octobre ouverture à Madrid Espagne d'une conférence de paix. Israéliens, Palestiniens -des territoires occupés, et non de l'OLP- , Jordaniens et Syriens se rencontrent sous le co-parrainage de George Bush père et de Mikhaïl Gorbatchev. 199214 janvier les Palestiniens remettent à la délégation israélienne leur projet d'autonomie dans les territoires occupés. 27 avril une session de pourparlers se déroule pour la première fois en présence d'observateurs de l'OLP à Washington 16 décembre à la suite de l'assassinat d'un soldat israélien par le Hamas, Ie gouvernement expulse plus de 400 islamistes palestiniens au Sud-Liban. 199319 janvier le Parlement israélien abroge la loi interdisant les contacts avec l'OLP. Juillet-août des rumeurs font état de contacts secrets entre Israël et l'OLP. 13 septembre Israël et l'OLP signent à Washington un accord de principe "Oslo I" sur une autonomie palestinienne transitoire de cinq ans. Le Premier ministre israélien Itzhak Rabin et Yasser Arafat échangent une poignée de main historique. 199425 février un extrémiste juif, le docteur Baruch Goldstein, massacre 29 Palestiniens en prière au Caveau des patriarches à Hébron. 4 mai accord du Caire sur l'autonomie de la bande de Gaza et de la ville de Jéricho Cisjordanie. L'Autorité palestinienne s'installe dans les zones nouvellement autonomes. 1er juillet retour de Yasser Arafat à Gaza. 199528 septembre Israël et l'OLP signent à Washington l'accord négocié à Taba "Oslo II" étendant l'autonomie en Cisjordanie et prévoyant une série de retraits israéliens par étapes. Fin 1995 Israël se retire de six villes de Cisjordanie qui deviennent autonomes. 199620 janvier Yasser Arafat est élu président de l'Autorité palestinienne et ses partisans remportent les 2/3 des 80 sièges du Conseil législatif. 24 avril le CNP parlement palestinien en exil, réuni pour la première fois en Palestine, élimine de sa charte les articles mettant en cause le droit à l'existence de l'Etat d'Israël. 29 mai les Israéliens élisent comme Premier ministre Benyamin Netanyahu, chef de la droite nationaliste, opposé aux accords d'Oslo. 24 septembre l'ouverture par Israël d'un tunnel sous l'Esplanade des Mosquées à Jérusalem provoque de violents affrontements entre l'armée israélienne et des manifestants palestiniens, qui font plus de 70 morts. 199715 janvier Netanyahu et Arafat concluent un accord sur un retrait partiel israélien de la ville d'Hébron en Cisjordanie. 7 mars l'annonce unilatérale par Israël d'un retrait de 9 % de la Cisjordanie les Palestiniens réclament 30% provoque une nouvelle crise. 18 Mars Israël met en chantier une nouvelle colonie juive à Abou Ghneim Har Homa près de Bethléem, dans la partie occupée de Jérusalem-Est, ce qui enlise un peu plus le processus de paix. 30 novembre Israël accepte le principe de retrait limité de Cisjordanie sans en fixer l'ampleur ni la date, assorti de conditions draconiennes. La presse israélienne parle de 6 à 8% de territoires évacués. 199814 janvier Israël annonce qu'il gardera sous son contrôle de larges parties de la Cisjordanie, même en cas d'accord de paix avec les Palestiniens. 21 juin en dépit des critiques des Etats-Unis et de l'Union européenne, le gouvernement israélien décide la création d'une super-municipalité de Jérusalem qui englobe plusieurs colonies de Cisjordanie, et double ainsi de volume. 23 octobre Arafat et Netanyahu signent à Wye Plantation Etats-Unis un accord destiné à sortir le processus de paix de l'impasse Israël transfèrera à l'administration palestinienne, en trois étapes, 13% supplémentaires du territoire de la Cisjordanie encore sous son Bill Clinton est le premier président américain reçu en visite officielle par un Etat Palestinien virtuel. Inauguration de l'aéroport de Gaza, sous contrôle israélien. 199917 mai les Israéliens élisent Ehud Barak travailliste au poste de Premier ministre. 4 septembre signature, à Charm-el-Cheikh Egypte, d'un accord fixant les dates des retraits israéliens de Cisjordanie, afin de relancer le processus de paix moribond. 200013 février nouveau retard dans les négociations ; les deux parties ne parviennent pas à signer un accord-cadre définissant les grandes lignes d'un règlement final, conformément au mémorandum signé à Charm-el-Cheikh en septembre 1999. 21 mars avec un nouveau retrait de l'armée israélienne de 6,1% de Cisjordanie, l'Autorité palestinienne contrôle désormais, partiellement ou totalement, 40 % du territoire. 15 mai le parlement israélien vote le transfert à l'autorité palestinienne de 3 localités proches de Jérusalem, dont Abou Dis, souvent présentée comme le siège de la capitale d'un futur Etat palestinien. 11-25 juillet échec du sommet israélo-palestinien de Camp David. Aucun accord n'est conclu entre les deux parties. 28 septembre la visite du chef du Likoud, Ariel Sharon, sur l'Esplanade des Mosquées Jérusalem-est, troisième lieu saint de l'islam, provoque de violentes émeutes en Israël et dans les territoires palestiniens, faisant plus de 90 victimes. C'est le début de la deuxième Intifada 2000-2005. 200129 janvier Israël et les Palestiniens annoncent avoir réalisé de sérieux progrès dans les négociations de Taba. Ehud Barak décide de les ajourner jusqu'à l'élection du chef du gouvernement le 6 février, estimant impossible un accord avant cette date. 6 Février Ariel Sharon est élu premier ministre en Israël avec une avance de 25 points sur Ehud Barak. 4 décembre Israël lance des raids d'ume ampleur sans précédent dans les territoires palestiniens. Yasser Arafat, déclaré "hors-jeu" par Ariel Sharon, ne peut plus sortir de Ramallah, encerclée par Tsahal. 200229 mars l'état hébreu lance une offensive dans les territoires occupés baptisée "rempart défensif". La Mouqataa, le quartier général d'Arafat à Ramallah, est partiellement détruit et le leader palestinien est coupé du avril Marwan Barghouti, le chef du Fatah en Cisjordanie, est capturé par l'armée israélienne. 200314 février cédant aux pressions internationales pour des réformes au sein de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat donne son accord à la nomination d'un Premier ministre. 19 mars Yasser Arafat propose de nommer Mahmoud Abbas, un pragmatique notoire, au poste de Premier ministre. 29 avril Mahmoud Abbas et son cabinet reçoivent l'investiture du parlement palestinien Son investiture lève le dernier obstacle à la publication de la "feuille de route", plan de paix international prévoyant la création d'un Etat palestinien d'ici à 2005. 29 juin Mahmoud Abbas obtient du Hamas, du Jihad islamique puis du Fatah, une trêve temporaire des attaques anti-israéliennes. 20 août au lendemain d'un attentat suicide qui fait 21 morts et une centaine de blessés à Jérusalem-ouest, Mahmoud Abbas rompt les contacts avec les groupes du Hamas et du Jihad islamique. 25 août à l'insu du premier ministre, Yasser Arafat nomme l'ancien chef de la Sécurité préventive en Cisjordanie, Jibril Rajoub, au poste de conseiller aux affaires de sécurité. 6 septembre Mahmoud Abbas annonce sa démission au Parlement palestinien, invoquant des obstacles intérieurs, israéliens et américains à son action. 7 septembre Yasser Arafat offre au président du parlement, Ahmed Qoreï, le poste de premier ministre. 5 octobre Yasser Arafat décrète l'état d'urgence dans les territoires, au lendemain d'un attentat suicide en Israël qui a tué 20 personnes. 20042 février Ariel Sharon annonce son intention de démanteler toutes les colonies de la bande de Gaza regroupant un total de 7 500 habitants. 22 mars Cheikh Yassine, le fondateur du Hamas, est assassiné lors d'un raid israélien devant une mosquée de Gaza. 17 avril le nouveau chef du Hamas, Abdelaziz al-Rantissi, est tué par un raid aérien israélien à Gaza. 6 juin le cabinet israélien adopte le principe d'un retrait échelonné de la bande de Gaza, qui devrait être terminé à la fin de l'année 2005. 13 juillet l'envoyé spécial de l'ONU dans les territoires palestiniens, Terje Roed-Larsen, adresse de vives critiques à Yasser Arafat, estimant que la situation dans les territoires "tourne progressivement au chaos". 16 juillet une série de rapts est organisée dans les territoires par des groupes armés qui entendent protester contre la corruption de l'Autorité palestinienne. 17 juillet Yasser Arafat annonce une refonte des services de sécurité, après qu'Ahmed Qoreï a proclamé son intention de démissionner. Le Raïs nomme à la tête du service de sécurité générale son neveu, Moussa Arafat. La nomination de ce dernier, soupçonné de corruption, entraîne de violentes manifestations. Il est rétrogradé quelques jours plus tard. 29 octobre Yasser Arafat, 75 ans, dont l'état de santé s'est dégradé subitement, est hospitalisé en France. 11 novembre mort de Yasser Arafat à Paris. Sa dépouille est inhumée à Ramallah le lendemain, après des funérailles au Caire. 14 novembre Mahmoud Abbas est choisi par le Fatah comme candidat officiel pour les élections présidentielles palestiniennes qui se tiendront le 9 janvier 2005. 16 novembre le chef du Hamas dans la bande de Gaza, Mahmoud Zahar, annonce que son mouvement boycottera l'élection présidentielle de janvier. 20059 janvier Mahmoud Abbas, est élu à la tête de l'autorité palestinienne avec 62,5% des suffrages. 15 janvier prestation de serment de Mahmoud Abbas. Ahmad Qoreï est reconduit à la tête du gouvernement. 27 janvier élections municipales partielles dans la bande de Gaza ; le Hamas sort grand vainqueur. 8 février sommet Abbas-Sharon à Charm-el-Cheikh Egypte; ils proclament la fin des violences entre Israéliens et Palestiniens. 12 mars le Hamas annonce sa participation aux élections législatives, prévues en juillet puis reportées en janvier 2006. 5 mai nouvelle série d'élections municipales partielles, à Gaza et en Cisjordanie. Le Hamas s'impose dans les grandes villes. 22 août fin de l'évacuation des colons israéliens de Gaza. 12 septembre retrait des derniers soldats israéliens de la bande de Gaza. Les forces de l'ordre palestiniennes entrent dans les 21 colonies démantelées. 29 septembre le Fatah remporte l'emporte largement lors de municipales partielles en Cisjordanie. 25 novembre réouverture du terminal de Rafah, poste frontière entre Gaza et l'Egypte, sous le contrôle conjoint des Palestiniens et d'observateurs européens. Décembre 14 un groupe de jeunes dirigeants du Fatah crée une liste concurrente en vue des législatives pour protester contre la main mise de la vieille garde sur le parti. 15 le Hamas devance largement le Fatah dans les principales villes de Cisjordanie à l'occasion d'élections municipales partielles. 28 mettant fin à ses divisions, le Fatah inscrit une liste unifiée pour les législatives. La liste, dirigée par Marwan Barghouti, toujours emprisonné, fait la part belle à la jeune garde du parti. 200625 janvier le Hamas remporte la majorité absolue aux élections législatives, avec 74 sièges sur les 132 que compte le Conseil législatif, contre 45 sièges pour le Fatah. Le premier ministre Ahmed Qoreï démissionne. 18 février prestation de serment du nouveau parlement dominé par le Hamas ; le lendemain, le gouvernement israélien cesse de verser les taxes dues à l'Autorité palestinienne, correspondant au produit de la TVA et aux droits de douane prélevés sur les produits importés dans les territoires palestiniens et transitant par Israël. 21 février un des responsables du Hamas, Ismaïl Haniyeh, est chargé de former le gouvernement. 29 mars le gouvernement du Hamas prête serment. 7 avril l'Union européenne suspend son aide directe au gouvernement dirigé par le Hamas. 10 mai des responsables palestiniens emprisonnés en Israël, dont Marouan Barghouti Fatah et le cheikh Abdel Halek Al-Natshé Hamas, font des propositions pour sortir de la crise opposant le Fatah et le Hamas. Figurent notamment l'idée d'un gouvernement de coalition Fatah-Hamas, la fin des attaques en territoire israélien, et la création d'un Etat palestinien dans les frontières de 1967. 19 mai un porte-parole du Hamas est arrêté au point de passage de Rafah, à Gaza, cachant une somme d'environ 1 million de dollars. En raison du blocus financier imposé aux Palestiniens, les ministres du Hamas se feront à plusieurs reprises "transporteurs de fonds". 14 juin Mahmoud Abbas et le premier ministre Ismaïl Haniyeh parviennent à un accord sur l'intégration d'une force paramilitaire du Hamas à la police, dont la plupart des membres sont fidèles au Fatah. 27 juin le Hamas accepte de signer le document d'"entente nationale" reconnaissant implicitement l'existence d'Israël. 28 juin début d'une vaste offensive terrestre et aérienne dans la bande de Gaza, surnommée "Pluies d'été". L'armée israélienne arrête huit ministres, des dizaines de députés et autres responsables du Hamas. Fin juillet 29 personnes sont tuées lors d'une incursion terrestre dans Gaza. L'offensive israélienne dans les territoires palestiniens est étendue à la Cisjordanie. 1er septembre la communauté internationale s'engage à verser 500 millions de dollars d'aide aux Palestiniens, lors d'une réunion de donateurs à Stockholm. Les Territoires palestiniens traversent une grave crise financière depuis la suspension de l'aide internationale et le gel des droits de douane par Israël au printemps 2006. 1er octobre affrontements sanglants entre milices du Hamas et du Fatah. 1er-8 novembre une offensive terrestre et aérienne israélienne provoque la mort de près de 60 palestiniens. 14 décembre le convoi du Premier ministre Ismaël Haniyeh est pris pour cible par des tirs en traversant la frontière entre l'Egypte et Gaza. Le Hamas accuse le Fatah. Des affrontements armés éclatent entre les partisans des deux mouvements. En neuf mois, les violences interpalestiniennes ont fait 320 morts. 2007 6 janvier Mahmoud Abbas déclare hors-la-loi la "force exécutive", groupe paramilitaire de 5 000 hommes créé en avril 2006 par le ministère de l'intérieur que contrôle le février le Hamas et le Fatah signent en Arabie saoudite un accord sur la formation d'un gouvernement d'union censé mettre un terme aux violences interpalestiniennes. 17 mars reconduit dans ses fonctions, Ismaïl Haniyeh, forme un gouvernement d'union nationale avec le Fatah, comprenant des personnalités indépendantes aux ministères nouveaux affrontements Hamas-Fatah dans la bande de Gaza. 14 juin le Hamas met en déroute les combattants du Fatah et prend le contrôle de la totalité du territoire de Gaza. Mahmoud Abbas déclare l'état d'urgence, limoge le gouvernement d'union nationale et charge Salam Fayyad, ancien ministre des finances de former un cabinet d'urgence. 18 juin l'Union européenne, suivie par les États-Unis, décide de rétablir son aide financière directe à l'Autorité palestinienne et de normaliser avec elle ses relations, suspendues en mars 2006, après la victoire électorale du octobre Israël impose des sanctions économiques à la Bande de Gaza décrétée "entité ennemie".26-28 novembre conférence internationale à Annapolis Etats-Unis. Ehud Olmert et Mahmoud Abbas s'engagent à conclure un traité de paix avant la fin 2008. 2008 Février-mars offensive de l'armée israélienne contre la Bande de Gaza pour tenter de mettre fin aux tirs de roquettes depuis la Bande de Gaza. Elle provoque la mort de près de 130 Palestiniens, sans pour autant mettre fin aux tirs du Hamas. 19 juin après des mois de médiation égyptienne, un cessez-le-feu est conclu pour six mois entre Israël et le Hamas à Gaza. Israël s'engage à lever progressivement le blocus imposé depuis le coup de force du Hamas sur le territoire palestinien en juin à la suite d'un attentat meurtrier à Gaza imputé au Fatah, la police du Hamas déclenche des opérations de répression sur le territoire. Elle attaque le bastion du clan familial Helles pro-Fatah. A la demande de Mahmoud Abbas, Israël accepte de secourir 180 membres du clan, pour leur permettre de se réfugier dans l'Etat août Israël libère 198 prisonniers après la mort d'un policier abattu à Gaza par des membres du clan Doghmouch, famille liée à des organisations criminelles, les forces de sécurité du Hamas attaquent le bastion du clan pour arrêter les suspects. Les combats font onze novembre l'armée israélienne effectue une incursion à Gaza causant la mort de six activistes palestiniens. Le Hamas réplique en tirant une cinquantaine de roquettes en direction du territoire décembre Khaled Mechaal, dirigeant en exil du Hamas, annonce que la trêve avec Israël ne sera "pas renouvelée" le 19 décembre en raison de la poursuite du blocus de la bande de décembre Israël libère 227 prisonniers décembre Mahmoud Abbas, dont le mandat s'achève en janvier 2009, annonce qu'il va convoquer prochainement des élections présidentielles et législatives. Le Hamas récuse les élections législatives, le terme légal du parlement palestinien s'achevant normalement en janvier décembre les Brigades Ezzedine Al-Qassam, branche armée du Hamas, revendiquent les premiers tirs d'obus de mortier sur Israël depuis la fin de la décembre Israël lance une attaque aérienne massive contre la bande de Gaza, baptisée "Plomb durçi". 2009 3 janvier début de l'offensive terrestre à Gaza. 6 janvier au moins 40 personnes qui s'abritaient dans une école gérée par l'ONU sont tuées par un tir israélien dans le camp de réfugiés de Jabalia. 17 janvier cessez-le-feu. En trois semaines, l'offensive israélienne a fait 1 330 morts palestiniens, dont plus de 430 enfants, et 5 450 blessés, selon les services médicaux palestiniens. Côté israélien, 10 militaires et 3 civils ont péri, selon les chiffres mars la communauté internationale promet quatre milliards et demi de dollars pour la reconstruction de Gaza dévasté par 22 jours de bombardements israéliens en août après avoir reconduit Mahmoud Abbas à la tête du Fatah, le Congrès général du mouvement rajeunit sa direction avec 14 nouveaux membres du Comité central sur 18, dont Marwan Barghouthi, symbole de la "résistance", emprisonné à vie en septembre un rapport de l'ONU sur la guerre de Gaza en janvier 2009, conduit par le juge Richard Goldstone, accuse Israël et le Hamas de "crimes de guerre" et de possibles "crimes contre l'humanité". Celui-ci recommande de demander au Conseil de sécurité de saisir le Procureur de la Cour pénale internationale CPI si aucun progrès n'est réalisé d'ici six mois dans les enquêtes menées par les autorités israéliennes et l'Autorité octobre sous pression américaine, l'Autorité palestinienne accepte le report de l'examen, par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, du rapport Goldstone. 6 octobre devant la levée de bouclier provoquée par la décision du 2 octobre, Mahmoud Abbas, annonce son intention de recommander de référer devant l'ONU le rapport octobre le Conseil des droits de l'homme de l'ONU adopte une résolution approuvant le rapport Goldstone et renvoie de facto le dossier au Conseil de sécurité à New octobre Mahmoud Abbas convoque des élections législatives et présidentielle pour janvier 2010. Le Hamas refuse la tenue d'élections à novembre l'Assemblée générale de l'ONU adopte une résolution donnant trois mois à Israël et aux Palestiniens pour ouvrir des enquêtes indépendantes sur les allégations de crimes de guerre commis lors du conflit de Gaza l'hiver Abbas annonce qu'il ne briguera pas de nouveau novembre l'Autorité palestinienne décide de reporter indéfiniment les élections générales prévues en janvier décembre le Conseil central de l'OLP décide de prolonger les mandats de Mahmoud Abbas et du Parlement palestinien afin d'éviter une crise politique et institutionnelle. Cette décision est immédiatement rejetée par le Hamas. 2010 6 janvier des heurts meurtriers éclatent à la frontière entre l'Egypte et la Bande de Gaza lors d'une manifestation de Palestiniens contre la construction d'une barrière métallique souterraine par l'Egypte pour bloquer les quelque 400 tunnels de janvier assassinat à Dubaï d'un chef militaire du Hamas. Il s'inscrit dans une longue liste d'assassinats ciblés. La police de Dubaï incrimine le mai neuf personnes sont tuées dans l'abordage d'une flottille internationale par un commando israélien. Cette dernière acheminait des militants pro-palestiniens et de l'aide humanitaire pour Gaza, sous blocus juin sous pression internationale, Israël annonce l'assouplissement de l'embargo de Gaza, sur les biens "à usage civil". Les matériaux de construction, susceptibles d'utilisation à des "fins militaires", restent sous septembre reprise des pourparlers de paix directs entre Israéliens et Palestiniens, interrompus depuis décembre 2008. Ils s'ouvrent "sans conditions", position voulue par Israël et acceptée par Mahmoud Abbas qui, sous la pression américaine, a renoncé à exiger d'Israël en préalable, l'acceptation d'un Etat palestinien dans le cadre des frontières de 1967 et l'arrêt total de la colonisation en Cisjordanie et à septembre Israël laisse expirer son moratoire sur la colonisation en Cisjordanie, alors que les Palestiniens exigeaient sa prolongation pour poursuivre le "processus de paix". 2011 Janvier la chaîne de télévision qatarie Al-Jazeera rend publics des documents confidentiels sur les négociations entre Israéliens et Palestiniens, qui montrent que ces derniers étaient prêts à accorder à l'Etat juif des concessions territoriales très importantes et à remettre en cause certains principes, en particulier sur la question de Jérusalem et le droit au retour des l'Autorité palestinienne annonce des élections générales d'ici à septembre et demande au Premier ministre Salam Fayyad de former un nouveau des milliers de Palestiniens manifestent à Gaza et en Cisjordanie, en faveur de la "fin des divisions" de violences entre Israël et Gaza. Deux militants de la branche armée du Hamas sont tués par une frappe israélienne; le mouvement réplique par des tirs de roquette et d'obus sur Israël, entraînant une escalade militairequi fait 18 morts parmi les Un militant pacifiste italien, Vittorio Arrigoni, enlevé par un groupe salafiste à Gaza est exécuté par ses le Fatah et le Hamas scellent leur réconciliation au Caire. Cette réconciliation doit mettre un terme à la division entre la Cisjordanie et Gaza et ouvrir la voie à des d'un discours au département d'Etat, Barack Obama se prononce pour la création d'un Etat palestinien sur la base des frontières de 1967, rectifiées par des échanges de territoires annonce l'ouverture permanente à Rafah du point de passage avec la bande de Gaza, afin d'alléger le blocus imposé par Israël à l'enclave Mahmoud Abbas affirme que les Palestiniens sont déterminés à réclamer le statut de membre à part entière pour leur Etat à l'ONU en septembre, lors d'une réunion de la direction palestinienne à le 23, le président de l'Autorité palestinienne présente une demande d'adhésion d'un Etat de Palestine à l'ONU. Elle n'aboutit pas, faute de soutien des pays membres du Conseil de les Palestiniens obtiennent le statut de membre à part entière de l'Unesco. 2012 Février la première visite du chef du Hamas, Khaled Mechaal en Jordanie depuis son expulsion en 1999 illustre un réalignement diplomatique du mouvement Fatah et le Hamas signent à Doha un accord sur la formation d'un cabinet de transition dirigé par Mahmoud Abbas, chargé de superviser la tenue d'élections. L'accord reste sans l'"éliminitation ciblée" de Zouheir al-Qaïssi, le chef des Comités de résistance populaire CRP, par l'armée israélienne, déclenche une flambée de violence à Gaza. Avril-mai plusieurs centaines de prisonniers palestiniens font une grève de la faim pour dénoncer la détention administrative, une mesure qui permet à Israël de garder en prison sans jugement des suspects pour des périodes indéfiniment renouvelables. Octobre l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, est le premier chef d'Etat à se rendre, à l'invitation du Hamas, à Gaza depuis que le Hamas en a pris le contrôle en juin 2007. Il inaugure un projet de reconstruction du territoire d'un montant de 400 millions de alors que les tirs de roquette en provenance de Gaza n'ont jamais cessé, l'armée israélienne lance l'opération "Pilier de défense" contre Gaza. En huit jours, du 14 au 21, 174 Palestiniens et 6 Israéliens sont tués, en majorité des civils dans les deux 29, Mahmoud Abbas fait voter par l'Assemblée générale une résolution faisant de la Palestine un Etat observateur à l'ONU. Voir la Chronologie d'Israël 1947-2011 Catherine Gouëset Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

Environ3000 d'entre eux étaient des chalutzim (le mot hébreu pour pionniers) venus au Danemark pour suivre une formation agricole avant d'émigrer en Palestine. Lorsque l'Allemagne occupa le Danemark le 9 avril 1940, la population juive comptait environ 7 500 personnes soit 0,2% de la population totale du pays. Environ 6 000 de ces Juifs étaient

Publié le 14/08/2022 à 1410, Mis à jour le 14/08/2022 à 1412 Le pont Antonivskyi qui traverse la rivière Dnipro dans la région de Kherson, contrôlée par la Russie, dans le sud de l'Ukraine, le 23 juillet 2022. ALEXANDER ERMOCHENKO / REUTERS Les soldats ayant franchi le fleuve Dnipro dans la région de Kherson, ville du Sud occupée par Moscou, risquent d'y être coincés après la mise hors d'usage de tous les ponts existants. L'Ukraine a affirmé dimanche que les troupes russes ayant franchi le fleuve Dnipro dans la région de Kherson, ville du sud occupée par Moscou, risquaient d'y être coincées après la mise hors d'usage de tous les ponts existant. Les seuls moyens de traverser le fleuve pour l'occupant sont des pontons près du pont Antonivski mais ils ne pourront pas totalement répondre à leurs besoins», a déclaré à la télévision ukrainienne un député régional, Serguiï lui, la Russie transfère ses centres de commandement de la rive droite du fleuve vers la gauche, consciente qu'en cas d'escalade, ils ne pourront pas être évacués à temps». Il a estimé à le nombre de soldats russes présents sur la rive droite du fleuve et précisé qu'ils peuvent toujours traverser les ponts abimés à pied».À lire aussiDans les tranchées ukrainiennes, en attendant l’offensive vers Kherson le récit de l’envoyé spécial du FigaroLes troupes russes se sont emparées au début de l'invasion de l'Ukraine de Kherson, sur le fleuve Dnipro, la seule capitale régionale qu'elles ont jusqu'à présent réussi à conquérir. Elles ont avancé de quelques dizaines de kilomètres vers l'Ouest mais les trois ponts deux routiers et un ferroviaire qui franchissent le fleuve dans la zone qu'elles contrôlent ont été à plusieurs reprises bombardés ces dernières plus important est le pont Antonivski, en banlieue de Kherson, plusieurs fois touché par des missiles depuis fin juillet. Un autre est le pont de Nova Kakhovka, 50 kilomètres au nord-est, cible de frappes cette semaine. Hier vendredi, nos forces armées ont finalement et avec efficacité frappé le pont près de Nova Kakhovka. Les Russes ne peuvent plus transférer de matériel, de munitions et même de nourriture pour leurs troupes», avait déjà affirmé samedi soir Serguiï lire aussiEn Ukraine, confrontation à haut risque autour de la plus grande centrale nucléaire d’Europe le récit de l’envoyé spécial du FigaroLe ministère britannique de la Défense a confirmé samedi dans son briefing quotidien que les deux principaux ponts routiers donnant accès à la poche du territoire occupée par la Russie sur la rive ouest du Dnipro sont probablement hors d'usage».À VOIR AUSSI - Guerre en Ukraine Il y a une sorte d'enlisement», affirme Alexis Feertchak L'Ukraine affirme être en passe d'isoler une partie des forces russes dans la région de Kherson S'ABONNERFermerS'abonner Selonles gardes-frontières ukrainiens, entre le début de l’invasion russe et août 2022, 6 400 hommes, âgés d'entre 18 et 60 ans et qui ont interdiction de quitter l’Ukraine, ont été arrêtés en tentant de fuir le pays, dont plus de 4 000 après avoir essayé de passer à des points de passages illégaux. Abraham avait 75 ans lorsqu'il quitta Haran. C'était La Promesse, et le début de 430 ans avant l'Exode. 25 ans plus tard, Abraham a 100 ans et Isaac est né. Nous sommes maintenant à 25 ans de The Promise 5 ans plus tard, Isaac est sevré. Ismaël se moque d'Isaac, Ismaël et Agar sont exilés. C'est le début des 400 années passées à être maltraité/affligé » puis plus tard réduit en esclavage ». Nous sommes maintenant à 30 ans de La Promesse 55 ans plus tard, Isaac a 60 ans à la naissance de Jacob. Maintenant, nous sommes à 85 ans de La Promesse 130 ans plus tard, Jacob a 130 ans et ils entrent en Egypte. Nous sommes maintenant à 215 ans de La Promesse et à 215 ans de l'Exode En ce qui concerne les 215 années en Égypte, nous savons que Kehath figurait parmi ceux qui entraient en Égypte Genèse 46 8,11, et son fils Amram figurait parmi ceux qui quittaient l'Égypte Nombres 3 14,19. Kohath a vécu jusqu'à 133 ans son fils Amram a vécu jusqu'à 137 ans Nous savons donc maintenant que les Israélites ne pourraient pas être en Égypte plus longtemps que leurs âges combinés de 270 ans. Ils étaient en Egypte 215 ans. La prophétie de la quatrième génération fait référence à Lévi, Kohath, Amram, Moïse. AprèsLa médecine au temps des Pharaons, Bruno Halioua nous fait découvrir un nouveau pan de la pratique médicale dans l'Antiquité : la médecine au temp Tous
C'est probablement au XIIe siècle avant notre ère que naquit le royaume d'Israël. Selon l'Ancien testament, il aurait été fondé par le roi Saül 1020-1000 av. Durant les règnes de David puis Salomon, il connait son apogée avant des connaître des périodes de divisions et d'occupations étrangères. Loin de rivaliser avec la puissance Mésopotamienne ou égyptienne, l'ancien royaume d'Israël n'en a pas moins marqué l'histoire de l'humanité. Contrairement à leurs voisins, les Hébreux ne vénéraient qu'un seul dieu, Yahvé. Leur religion devait exercer une grande influence à la fois sur le christianisme et sur l'islam. Terres bibliques L'histoire et les mythes fondateurs du peuple juif sont relatés dans la Bible, qui décrit les premières errances dans le Croissant fertile de ces hommes originaires de Mésopotamie. Selon les récits bibliques, les Hébreux connurent une longue période de captivité en Égypte. Puis Moïse les mena à travers le désert du Sinaï jusqu'à la "Terre promise" de Canaan. Là, sous la houlette de Josué, ils soumirent la majorité des peuples indigènes du pays. Selon l'une des plus célèbres légendes, les murs de Jéricho se seraient écroulés au son des trompettes. Les Hébreux s'organisèrent en tribus, que dirigeaient des "Juges". Devant la résistance des Philistins, un peuple guerrier vivant près de Gaza, dans la plaine côtière du sud, les conquérants décidèrent de s'unir sous l'égide d'un seul roi, Saül v. 1020-1006 av. Son successeur David v. 1006-965 av. battit les Philistins et soumit les États voisins, Moab et Edom, à l'autorité d'Israël. Dernier bastion cananéen à capituler, Jérusalem devint la capitale de son royaume. S'il est impossible de vérifier l'exactitude des récits de la Bible, les résultats des fouilles archéologiques corroborent la conquête du pays de Canaan et la fondation du royaume de Saül. Les succès militaires de David seraient en partie dus à l'incapacité de la Mésopotamie et de l'Égypte, alors aux prises avec leurs propres difficultés, à lui résister. David céda son trône à son fils Salomon 965-928 av. Placé sous le signe de la paix, son règne vit la réalisation de grands projets architecturaux. Le plus important fut le Temple de Jérusalem, destiné à abriter l'arche d'alliance, qui contient les Tables de la Loi remises par Yahvé à Moïse sur le mont Sinaï. Cependant, l'énorme coût de ces ouvrages valut à Salomon une impopularité grandissante parmi ses sujets nombre d'entre eux étaient en effet enrôlés de force sur les chantiers. Il lui fut également repro­ché d'avoir cédé des terres à la cité phéni­cienne de Tyr, au nord du pays, en échange d'artisans et de matériaux de construction. En outre, il était soupçonné de vénérer d'autres dieux que Yahvé. Divisions et désunion dans le royaume d'Israël A la mort de Salomon, les tribus du nord d'Israël tentèrent de sensibiliser à leur sort son successeur, Jéroboam II, qui régna de 928 à 911 av. Devant son refus de leur accorder son attention, une révolte éclata. Elle mena à la division de l'état en deux Israël au nord, tandis que les tribus du sud formèrent le royaume de Juda, chacun dirigé par son propre monarque. Cette désunion du peuple hébreu ne pouvait tomber plus mal gouvernée par le pharaon Sheshonq, l'Égypte renaissait de ses cendres. En 924 av. les Égyptiens envahirent Juda et Israël, détruisant de nombreuses villes sur leur passage et assujettissant les Hébreux au paiement d'un tribut. Loin d'apaiser les conflits entre les deux royaumes, cette conquête les raviva, ce qui fournit l'occasion aux États vassaux de Moab et d' Edom de recouvrer leur autonomie. Selon la Bible, des disputes d'ordre religieux vinrent envenimer la situation. Le roi d'Israël Achab 873-852 av. fut en effet accusé d'introduire le culte de Baal, un dieu phénicien. Des chefs religieux, ou prophètes, comme Elie et Elisée, mirent leur peuple en garde contre l'hérésie et les dissensions internes. Dominations assyrienne et babylonienne Aux IXe et VIIIe siècles avant notre ère, l'Empire assyrien, qui dominait alors la région, constituait la principale menace pour les royaumes hébreux. Israël et Juda tombèrent bientôt sous son joug. Les quelques mouvements de révolte se manifestant çà et là furent sauvagement réprimés et des milliers de captifs déportés en Assyrie. En s'effondrant, en 612 av. la puissance assyrienne céda la place à l'Empire néo-babylonien. En 597 av. Nabuchodonosor II écrasa dans le sang une rébellion en Judée Jérusalem fut mise à sac, le Temple de Salomon détruit, ses trésors pillés. Des milliers de Juifs -ainsi appelait-on désormais les Hébreux- furent emmenés de force à Babylone. Au cours de leur exil, les Juifs puisèrent réconfort et soutien dans la religion, garante de l'identité de l
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carte les hébreux au temps des premières invasions