OPIcélèbre la sortie du nouveau Disney, « Alice de l’Autre côté du Miroir« , avec une nouvelle collection inspirée de l’univers et des personnages du film.Ce sont 8 nouvelles teintes, commercialisées en édition limitée, qui nous emportent dans un merveilleux tourbillon de pure folie. Afin que chacune trouve sa « tasse de thé », ces nouvelles teintes sont toutes
PHOTOS. 14 dessins qui ont inspiré les personnages d'"Alice de l'autre côté du miroir" ART - "En retard, je suis en retard ! En retard ! En retard !". Avant de s'agiter, sur nos écrans, à cause de son retard, le lapin blanc d'Alice a dû prendre vie. Pour créer les personnages d'Alice au Pays des Merveilles, les Studios Disney se sont inspirés de dessins, exposés du 27 mai au 15 juillet 2016 à la galerie Arludik, à Paris. A l’occasion de la sortie en salles le 1er juin de Alice, de l’autre côté du miroir, le nouveau film consacré à l'héroïne de Lewis Caroll, l'établissement a choisi de présenter les dessins de Bobby Chiu et Kei Acedera. Ces deux artistes sont à l'origine de tout l'univers artistique de l'oeuvre au cinéma. Ces mêmes dessins avaient également servi pour le film de Tim Burton. Un peu plus de 40 œuvres seront exposées pendant près de deux mois, entourées d'un décor dessiné où l'on peut découvrir des branches, du feuillage, des songes et autres objets et rêves issus de l'univers d'Alice au Pays des Merveilles. Vous pouvez d'ores et déjà découvrir quatorze des œuvres qui seront exposées représentant, le lapin blanc, le chat du Cheshire, Absolem ou encore le roi et la reine de cœur, dans notre diaporama ci-dessous » À voir également sur Le HuffPost
Alicede l'autre côté du miroir nous place plusieurs années après le premier film. La jeune femme revient d'une longue expédition en mer pour s'apercevoir que sa mère souhaite revendre le bateau de son défunt père afin
Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray Alice de l'autre côté du miroir"Légèrement supérieur au premier opus, Alice de l'autre Côté du Miroir ... a l'intelligence de respecter l'abstraction poétique de certains passages du roman et de livrer un conte pour enfants dans sa plus pure tradition, à savoir agencer le fond archaïque des préoccupations infantiles." Le Blog du Cinéma "En 2010, Alice au pays des Merveilles fut le plus gros succès public et commercial de Tim Burton ..., engendrant plus d'un milliard de dollars de recettes à travers le monde. Preuve que les classiques de Disney revisités restent une valeur sûre du cinéma américain. Six ans plus tard, le réalisateur James Bobin reprend le flambeau en s'inspirant du second livre écrit par Lewis Carrol pour réaliser le film du même nom Alice de l'autre Côté du Miroir. ... Avec son univers ultra-numérique tout en images de synthèse, Alice de l'autre Côté du Miroir a de quoi effrayer les amateurs de décors réels méprisant les effets spéciaux. Mais toute cette féérie, sublimée par la musique enchanteresse de Danny Elfman, prend malgré tout le dessus." Avoir Alire "Avec Alice de l'autre Côté du Miroir, James Bobin signe une véritable performance. Si l'histoire en elle-même réussit à captiver le spectateur, il a relevé le défi de faire revivre l'univers de Tim Burton. En effet, les décors sont très réussis, tout comme les costumes. Bien entendu, le retour du casting original donne une véritable continuité à la production. Et comme dans le premier long-métrage, on retrouve les qualités des acteurs avec un Chapelier Fou toujours aussi toqué. Mention spéciale à un nouvel arrivant Sasha Baron Cohen dans le rôle du Temps. Ce dernier offre une performance en mêlant comique et émotion à la perfection." Au Féminin "Alors que les aventures précédentes étaient marquées par une ambiance sombre et sérieuse, cet épisode est lui largement plus ludique et donc divertissant. Car si la mise en scène est moins inspirée, cette grande aventure sur paysages rose bonbon a le mérite d'être efficace. Un peu comme lorsqu'on déambule à travers les attractions de Disneyland, la magie opère toujours, même s'il n'y a plus de surprises." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Alice de l'autre Côté du Miroir ne crée pas autant la surprise et l'émerveillement que son prédécesseur. C'est un beau film, esthétiquement très soigné, mais malheureusement très con par moment. Après, si le spectateur garde en mémoire que c'est un conte pour enfants et qu'il ne faut pas trop en attendre, il se laissera facilement entraîner." Strange Movies "Si le film porte le titre de la suite des aventures d'Alice imaginée par Lewis Carroll, le scénario du film n'a aucun lien concret avec l'intrigue du roman. Pas de jeu sur les mots, ici, mais une réflexion » sur le Temps, incarné par Sacha Baron Cohen, et bien sûr un retour aux sacro-saintes valeurs familiales. ... Les tableaux se succèdent à un rythme effréné, sans laisser le temps à la magie ou à l'émotion." Paris Match "On était déjà sceptique avec le premier volet, réalisé par Tim Burton, en 2010. Mais là, quel cauchemar ! Et pas un de ces mauvais rêves vertigineux et inventifs, comme dans le roman de Lewis Carroll. Non, un cauchemar tout raplapla, en images de synthèse qui brident l'imagination. Un concours de cabotinage, en plus. On se pince..." Telerama - Nicolas Didier Synopsis usuel Les nouvelles aventures d’Alice et du Chapelier Fou.
Alice au Pays des Merveilles 2, Alice de l'autre côté du miroir" (Alice in Wonderland : Into the Looking glass) sort au cinéma le 1er juin 2016. Le réalisateur Tim Burton cède sa place à James Bobin, auteur du retour des Muppets.
Cette suite à l'Alice au pays des merveilles» de Tim Burton manque singulièrement de 11h14Johnny Depp dans le Tim Burton producteurCet opus fait suite à l'Alice au pays des merveilles signé par Tim Burton et sorti dans les salles obscures en 2010. L'un de ses longs-métrages les moins réussis et les moins intéressants. Pour cette séquelle, réalisée par James Bobin, Burton se retrouve crédité comme producteur, et tous les principaux acteurs du premier volet ont répondu présent Johnny Depp, Mia Wasikowska, Helena Bonham-Carter et Anne articles ABO sont réservés aux connecterArticles en relation
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Brisez la glace ! Mis à jour le 5 juin 2016 1922 Mis en ligne le 5 juin 2016 1920 Six ans après un premier film en prise de vue réelle, le Pays des Merveilles est de retour toujours en compagnie de Johnny Depp et de Mia Wasikowska pour une nouvelle aventure à travers un miroir magique. On peut dire que Disney aura pris son temps pour de nouveau emmener les spectateurs dans l'unique univers du Pays des Merveilles. Six ans après le sympathique film de Tim Burton - qui a révélé Mia Wasikowska - voilà tout ce petit monde quasiment de retour. Car Burton abandonne son siège de réalisateur pour n'être que simple producteur, laissant donc le rôle à James Bobin à qui l'on doit la décapante série Flight of the Conchords. Alice de l'autre côté du miroir nous place plusieurs années après le premier film. La jeune femme revient d'une longue expédition en mer pour s'apercevoir que sa mère souhaite revendre le bateau de son défunt père afin de récupérer leur maison, et leur place dans la société de l'époque. Mais Alice ne compte pas vraiment se laisser faire, et poussée par Absolem porté par la voix du regretté Alan Rickman, elle va franchir un miroir magique pour sauver de nouveau le Pays des Merveilles. Celui-ci a bien besoin d'elle le chapelier fou est à l'agonie alors qu'il est à la recherche de ses parents. Il n'y a qu'une solution pour tenter de renverser la situation et c'est avec le Temps qu'il faut discuter. On n'a de cesse de se le répéter quand on s'installe dans le siège de la salle de cinéma six ans, c'est quand même beaucoup pour une seconde fois. Et pourtant, c'est bien le temps qu'a mis Disney pour nous en resservir une part. Confiée à la scénariste du premier opus qui était donc une adaptation plus ou moins fidèle du roman de Lewis Carole, Linda Woolverton, cette histoire originale a donc fort à faire pour s'émanciper. Et pour cause, il faut avoir le coeur bien accroché pour tenter de tout se remettre en tête. Si vous n'avez pas vu Alice au Pays des Merveilles depuis longtemps, il est fortement conseillé de le faire avant de prendre votre ticket de cinéma. Dès le début, cette suite se dit en effet que vous vous rappelez la quasi-totalité des événements du premier film. Personnages, ennemis, retournement de situations et mêmes problèmes personnels, on frôle l'indigestion et on se demande bien comment un petit nouveau dans cet univers peut faire pour s'en sortir sans trop de casse. Et tout s'accélère dès lors qu'Alice va avoir accès aux voyages spatio-temporels qui vont se multiplier tout au long du film. L'occasion pour le réalisateur de revenir sur les thématiques visuelles d'Alice au Pays des Merveilles avec des décors aux couleurs chatoyantes, un univers toujours aussi maîtrisé, mais qui a malheureusement bien du mal à s'affirmer dans Alice de l'autre côté du miroir. L'autre défaut du défaut du film s'avère être sa malheureuse morale où le passé peut au moins donner une bonne leçon à défaut d'être réellement modifié, ce qui plombe toute la seconde partie. En effet, comment motiver le spectateur à en voir plus si tout ce que l'on nous a dit depuis le début de ce second épisode - il faut changer le passé pour sauver le chapelier - s'avère inutile ? Le spectateur que l'on est tente alors de se raccrocher à ce qu'il peut, et ici, ce sont les acteurs. On l'a dit, Mia Wasikowska est incroyable dans ce rôle très mature d'une Alice qui ne se laisse vraiment pas faire et ça fait plaisir à voir dans une production Disney, qui n'a pas besoin d'être sauvée. À cela s'ajoute évidemment Johnny Depp qui continue à emprunter un peu de sa folie pour tenir un chapelier fou convaincant. Le reste du casting, très secondaire, aurait mérité plus d'appréciation. Par exemple Sacha Baron Cohen qui incarne le Temps, et qui a probablement les pires dialogues du film et les vannes qui tombent à plat, ou encore Anne Hathaway, certes rayonnante en Reine Blanche, mais qui doit composer avec un rôle proche de celui d'une plante verte ou blanche. Même Helena Bonham Carter, la Reine Rouge du premier épisode, manque singulièrement d'efficacité en dépit d'une performance d'actrice toujours aussi réussie. Alice de l'autre côté du miroir pêche par son manque d'ambition qui apparaît dès lors que l'on commence à fermement s'ennuyer. Si le résultat n'est pas mauvais et que cette suite s'avère plaisante à voir au cinéma, elle n'en reste pas moins décevante sur le plan narratif et visuel avec un manque d'identité néfaste que son réalisateur, James Bobin, n'arrive jamais à cacher. Sylvain Trinel est rédacteur chez IGN France, super-héros fan de comics, et grand amateur de jeux vidéo. Il partage aussi des gifs sur Twitter.
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ALICE DE L'AUTRE COTE DU MIROIR, le 1er Juin au cinémaUn film de James BobinAvec Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Sacha Baron Cohen et Anne HathawaySynopsisA l’instar de son père, Alice Kingsleigh Mia Wasikowska a sillonné mers et océans durant des années avant de regagner l’Angleterre. De retour à Londres, poursuivant un papillon, elle passe à travers un miroir magique qui la ramène tout droit au royaume fantastique d’Underland. Là-bas, elle retrouve ses amis le Lapin Blanc Michael Sheen, Absolem Alan Rickman, le Chat du Cheshire Stephen Fry et le Chapelier Fou Johnny Depp. Mais celui-ci n’est plus que l’ombre de lui-même il a perdu sa fantaisie et sa folie. Face à cette situation, Mirana, la Reine Blanche Anne Hathaway confie à Alice une mission emprunter la Chronosphère - un globe de métal situé à l’intérieur de la Grande Horloge du temps - afin de remonter dans le passé. Pour la jeune fille, cela sous-entend retrouver des amis – et des ennemis – à des moments antérieurs de leurs vies. Ce n’est qu’au prix de cette quête périlleuse, de cette course contre le temps, qu’Alice pourra sauver le Chapelier avant qu’il ne soit trop tard…
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